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ACTE _III ., SCENE I.

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Qu'on doit hair, que le cie'i' doit poursuivre,

Et qui devráit ~tre mort.

-

J

ASM_IN.

Songe

"a

vivre ;

·Mourir de faim est

Jlal'

trop rigoureux :

·Tiens, nous avons quatre mains

a

nous deux,

'Servons-nous-en, sans complainte importune.

Vois-tu d'ici ces gens dont la fortune '

Est dans leurs hras, qui, la beche

a

la main ,.

Le dos courhé, retournent ce. jardi.n?

Enr6lons-nous parmi cette canaille;

Vie1~s avec eux, imite,-les, trava~Ue,.

Gagne

ta

vie.

EUPHÉMON

fi.l-s.

Hélas

!

dans leurs travaux,

Ces vils humains, moins hommes qu'animaux ,.

Goutent des biens dont toujours mes c~prices

. M'avaient pr1vé dans mes fausses,délices·;

Ils 01ít au moins', sans troub~e, sa11s re~or<ls,

La paix

de l'i:lme et la santé du corps.

SCENE

II.

MADA:

¡v.IE

CROUPIL'LAC, EUPH.EMON.

F1Ls,

.

JASMlN.

MADAME

CR.OUPILLAC,

dans l'enfoncemenL

QuE

vois-,je iéi? Serais-je aveugle ou horgne?

C'est lui, ma foi; plus j'avise et je lorgnc

Cet homme-la ; plus je dis que c'est lui.

(Elle le considere. )

Mais ce n'est plus le menie homme aujourdihui,

··rbéatrl)~

3.