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L'ENFANir'
PR.ObIGUE.
Et cette fleur á.vec l'iige embeBie
Est en état·, ma foi, d'etre cneillic.
:EUPHÉMO'N_-fi.I's.
Ah
malheureux
!
JASMIN.
. Mais j'a~ be.a
u
te parlér,
Ce
que je dis ne te peut consofor;
Je vois toujours
a
tr~vers
ta
vi.siere
TQtnher des pleurs c1ui hordent_ta paupiere.
E
UPHÉMON
fils.
Quel coup
du
sort, ou quel ordre des cieux,
A
pu guider ma misere en ces lieux
?
Hélas·!
JASMIN.
Ton reil 'contemple c-és i:lémeures.·
Tu
restes
Ji\
t0ut pensif, et tu ,pleures.
ETJPHÉM@N fiJs.
J'en ai sujet.
J
.lSMIN.
Ma,is,conn:ais-tu R,ondon?
· Se1'ais-tu pas pavent a.e
la
maison?
EUP:II•ÉMON
li.ls.
Ah!
laisse-moi.
·1
ASMIN,
en l'embrassant..
Par charité, mon. maí'tre,
Mon ,eher
_am~,
dis-IJ1oj qui
tu
p.eux e~re.
E U P l~
É
,no
N
fi.ils, en
pleuran•t.
· Je suis... je suis
tm
malheur.etix morte1,
Je suis un fou,
Ü{
sui s
·l!'ll
crirnin.cl,