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136.

L''ENFANT

:PRCH>IGUE.

L'~utre en a,buse;

il

sent trop que sur Iu{

De mes vieux ans j'ai fondé tout l'appui.

Piour moi la vie est un poids·qui m'accable.

( Ape,rcevant'

J

asmin qui le salue.)

Que me v~ux,,,tq., l'ami?

J;\.S'MJN. '

Seigneur aimable,

Reconnaissez, digne ~t noble Euphémon,

Certain Jasmín élevé ch,ez Rondon.

EUPHÉ'MON.

Ah, ah! c'est toi? Le temps chan,ge un visage,

Et ~on front chattve en sent le long outrage.

Quand tu partis, tu me vis encor frais; ·

Mais l'age

·avan.ce

, et leter~e est bien pres.

T.u reviens done enfin d.ans·.ta patrie?

JASM-I~.

Oui, je suis las de,t~lUrm_enter roa vie,

De vivre erra-;1t et dainné có¡nme '~n juif:

Le bonheur semble un etr~ .fugitif:

.

Le diable enfi!1, qui toujours me promene,

Me

fit

partir, le diable me-ramene. ·

-

'

'

'EUPHÉMON.

Je t'aiderai , sois sage, si

tu

peux.

Mai's quel etait cet autre malheureux

Qui te parlait dans cette promenade'

Qui s'est enfui?

JASMIN,

Mais. : . c'est mon cainarade,

Un pauvre here, affam~ ~omme_moi,

Qui n'ayant rien cherche"·aussi ,de

l'emploi.