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218 V,QYAGIE
les hahitans de·s írontieres trans:r-IY.ái.nes, ils leur
appartiemrnnt légalem,ent. Leurs ,cl.raits .si-ru ces
h . . ' d' . . ,,
1ens ne sont :Soum1s a , a,utres res,tr-:1ct10ns qua
celles qui ont été prescrites par la 10.i relativ;
a la prop.riété ,de ' les hmug.eois e11 gé.néral, et
ils peuvent en dispose-r a i:volonté. II _est encon?!'
une twisieme .de hiens qi1u
en .commun a toute la .population des foon:tieres
militaires de la Transr,lvanie. .Ce sont leS-Jtatu–
rages, les forets et le~ montagnes, qxr\m nomme
dans le -pays revendiquées (revindizirte G¡ebirge )~
Les ha.bitans de ,la frontiere tirent parti eux–
memes de ces hiens communaux , .,et si dans
cer,tains lieux on en .afferme .quelques ,parties ,
le produit .de .cet affer.mage. rentre ~lans la caisse
A I, fi ' 'l
pour etre emp oye au pro 1t .genera •
, -0 -n appelle montag,Jíles r,ev:e.Hdiquées ( revinp, .
'dizirte G.ebirge ·D ,une pm::tion ,de la ,chaine .qui
borde la ¡\foldavie .et la W allachie_, .et qui, dans
la derniere ré,visÍOJil des .ÍrontiereS, a été .reven–
diquée par les '.habitans -de .la 'J',ransylv.anie pro–
vinciale. Uempe,r~ur J.oseph JI la ,dpnna
.toujo11rs aux_ s _mifüaires. :Gomme ces
.terres se trouvent trop élo.ignées des<village,s pour
,que les - -Imhitans !puissent .les c;1~ltiver, on les
afferme surtóut dans le distnict .du ~~oond ,r:égi–
ment wallaque ; une grande .partie ,de ces monta;..
gnes est cultivée en paturages. Le .produit de
l'affermage se verse dans la caisse du régi{Uent,.et~