'Jº
JVIÉROPE.
; M
É
R O PE,
avec ·transport.
Eh
bien! cet étranger, c'est mon fils, c'est mon sa~g.
Narbas, on va plonger le couteau qans son flanc
!
Courons tous.
N
ARBAS.
Demeurez.
MÉROPE.
C'est mon fils qu'on cntraine.
Pourquoi? quelle entreprise exécrable et soudaine !
Pourquoi m'óter Egisthe?
E U R YCLES.
Avant de vous venger,
Polyphonte
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dit-il, prélend l'interroger.
MÉROPÉ.
L'interroger? qui? lui? sait-il quelle estsa mere ?
EUR.Y(:LES.
\ Nul ne soup9onne encor ce terrible mystere .
MÉROPE.
Courons
a
Polypho,nte, imp1orons son appui.
NAR~AS •
.N'implorez que les dieux, et _ne -craignez que lui.
EURYCL.ES.
Si les droits de ce fils foat au roí quelque ombragc,
De son salut au moins votre hymen est le gage.
Pret
a
s'unir
a
vous d'un éternel lien,
Votre fils aux autels va devenir le sien.
E t dut sa politique en etre encor jalouse,
Il faut qu'il serve Egisthe, alors qu'il vous épouse.
NARBAS.
·Il vous épouse ! luí! quél coup de foudre
!
o
ciel !