ACTE Il, SCENE II!.
ISMÉNIE.
Polyphop.tel'emporte, et nos peuples volages
A
son ambition prodiguent leurs suffrages.
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est toi, c'en est fait.
ÉGISTH
E.
J'avais cru que les dieux
Auraient plac~ Mérope au rang de ses ai:eux.
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Dieux! que plus on est grand,plus vos coups sont
a
craindre!
Errant, abandouné, je·suis le moins
a
plaindre.
Tout homme a ses malhcurs.
( On emmene Égisthe. )
E
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R
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L
Es '
a
Mérope.
· Je vous l'avais prédit :
Vous avez trop bravé son offre et son crédit.
MÉROPE.
Je vois toute l'horreur de l'abí'me ou nous sommes.
J'ai mal connu les dieux, j'ai mal connu les hommes.
J'en attendais justice; ils la refusent tou~.
EU R
YCLES.
Permettez que du moins j'assemble autour de vous
Ce peu de nos amis qui , dans un tel orage,
Pourraient encor sauver les débris du naufrage
¡
Et vous mettre
a
l'abri des nouveaux attentats
D'n~ maitre
dangere.uxet d'un pcuple d'ingrats.
SCENE
IV.
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MEROPE, ISMENIE.
ISMÉNIE.
L'
tT A
T
n'est point
ingr.at: non, madame, on vous aime;
On vous conserve en cor l'hoirneur du diademe: