ACt:E V; SCENE V.
421
Je l'ai
trop ,craint;
a
présent je le hra-ve;
-C'esi de vous seul que j_e·veU:x ~tre esclave.
A.DIN
E.
HéJas
!
de moi?
DORFISE.
Je m'en vais sourdement
•Chercher ce coffre
a
tous deux important.
Attends ici; je revole sur l'heure.
SCENE VI.
BL AN FO RD, AD
IN
E.
AD INE.
-~ u'E N
dite$-VOUS
?
eh bien! la?
BLANF
OR1:J•
Que
je
meure
S'il
fut jamais un tour plus déloyal,
Plus enragé, plus noir, ,plus infernal;
Et
cependant- admirez, 1eune Adíne,
Comme
a
jamais dans nos ~mes domirJe
Ce vif instinct, ce cri de la vertu,
Qui parle encor daos un creur corrompu.
ADINE.
Comm~nt?
BLANF OR D.
Tu vois que la perfide n'ose
Me voler tout,
et
me tend quelque
ch.o~e,
A DI N E ,
avec un ton ironique.
Oui, vo,us devez bien l'en remerci~r.
N'avez-vous pas enc~re
a
confier
'
\