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ACTE V, SCENE VIII.

4~5

Pour dire plus, je te laisse

a

mJdame.

Mes chers amis, j'ai démasqtJé leur

ame ;

Et

ce coquin... .'

BAR T

OL IN.'

s'en aJlant.

Adieu.

LE CHEVALIER MONDOn..

Mon rendez-vous ,

Que devi ent-il?

JJLANFORD.

On se moquait de vous.

LE CH E V ALI E R M O N DO R ,'

a

Blanford-.

·ne vous aussi, m'est avis

?

BLANF ORD.

De moi-meme.

J'en sois encor dans un dépit extreme.

LE CHEVALIER

MONDOll.

·On te trompait comme un sot.

:BLANFO RD'.

Que d'horreur

!

O

proderic

!

o

cornble de noirceur

!

LE CHEVALIER

MONDOR.

Eh! laisse

la

·toute la pruderie,

Et feinme, et tout; viens boire, je te prie ;

Je traite ainsi tous les malheurs que j'ai:

Qui hoit toujours n'cst jamais ,affligé.

Mme

BURLET.

Je suis fachée, entre nous, que Dorfise

Ait pu ~ommettre une telle sottise.

Cela pourra d'abord faire jaser;

Mais

tout s'apaise, et tout doit s'apaiser

~