LA PRUDE.
DOR FISE.
Je prends la chose assez patiemment.
Ce n'est pas tout.
ÉL~N FO
R
D.
Comment done?
DORFISE.
Oh! vraiment,
Vous allez bien apprend11e une autre histoire; ·
Ces étourdis prétendf)l).t fai~e accreir~
Qu'en tapinois 'j'ai, moi, de moll ceté,
De cet enfant con.voité la beauté.
B L A N
F,
O
JI.Ji).
Vous?
DO RFISE. '
Moi; l'ou dit que je v,eux le séduire.
BLANFORD.
Je suis charmé; Toila· bien de quoi rire.
Qui, vous?
D ORFISE.
Moi-méme, et que ce
beau
ga,r~<m.. .
BLANFO RD.
Bien inventé; le tour me seqiple bon.
DORFISE.
Plus qµ'on ne pense : on m'~n donne bien d'autres
!
Si
vous sav_iez quels malheurs sont les notres
!
On dit encor que je dois me lier
En mariage au· fou de chevalier,
Cette nuit méme
DL ANF0 R
D.
Ah ,! ma chere E>ol'fise
!
Plus contre vous la calomni.e épuise