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ACTE IV, SCENE II.

389

' DORFISE.

Que pensez,vous de notre jeu~e Adine?

LE

CHEVALIER MONDOR.

Moi

!

ríen : je suis rassuré par sa min~.

Hercule et Mars n'ont jamais a trente ans

Pu redouter des Adonis enfants.

DORFISE.

Vous me plaisez par cette confiance;

Vous en aurez la juste récompense.

Peut-etre on dit qu'en un secret lien

Je suis entrée: il faut n'en croire rien .

..

De cent amants lorgnée et fatiguée,

Vous seul enfin vous m'avez subjuguée.

LE CH EVAL I E R MONDO R.

Je m'en doutais.

DORFISE.

Je veux par de saints nreuds

Vous rendre sage, et, qui plus est, heureux.

LE CH E V AL I E R M O N DO R.

Heureux

!

allons, c'est assez; la sagesse

Ne me va pas, mais notre bonheur presse.

DORFISE.

D'ahord j'exige un service de vous.

LE CHEVALIER MONDOR.

Fort bien, parlez

toot

franca votre époux.

DORFISE.

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fau.t ce soir, mon tres cher, faire en sorte

Que la cohue aille aillenrs qu'a ma porte;

Que ce Blanford, si fier et si chagrín,

Et ma cousin~, et son

fat

de Darmin,