ACTE II, SCENE
I.
Vous proposez l'abomination.
Un beau jcune homme est mon aversion;
Un beau je une homme
!
ah!
fi
!
·
LE CH E V ALI E R MONDO R.
Ma fo i ,
m
adame,
Pour ;ous et moi i'en suis fach é dans l'ame.
Mais ce Blanford, qui revi en
t
sans vaisseau,
·Est-il si riche, et si jeune, et si beau?
DORFISE.
11
est ici? quoi, Blanford
?
LE CHEVALIER MONDOR.
Oui, sans doute.
COL ET TE,
en entrant avec précipitation.
Hélas
!
je viens ponr vous apprendre....
DO
R.
F
IS
E ,
a
Colette ,
a
l'oreille.
Ecoute.
Mme BU R L ]¡:T.
Comi;nent?
DO
R F
IS E,
au chevalier Mondor.
Depuis qu'il'prit de moi congé ,
De ses défauts je
l'ai
cru corrigé ,
Je l'ai cru mor
t.
L-E CHEVALIER. MONDOR.
11
vit; et le corsaire
Veut me couler
a
fond, et croit vous plaire.
D O R F Is E,
en se retournant vers Colette.
Colette, hélas !
COLETTE.
Hélas!