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ACTE

SECO.ND.

SCENE

l.

DORFISE;

MADAME

BURLET,

LE CHEVALIER .

MONDOR.

DORFISE.

Anouc1ssEz, monsi eur l e cheva1ier,

De vos discours l'exces trop familier:

La pureté de mes chasles oreilles

Ne p eut souffrir des 1ibertés pareilles.

LE

e

H E V A L I E R M

o

N D

o

R '

en riant.

Vous les aimez pourtant ces libertés ;

Vou s me gron dez , mais vous lrs écoutez;

Et vous n'avez , comme je puis comprendre,

Cheveux si courts que po ur les mieux entendre.

DORFISE.

Encore

!

Mme BUR LET.

Eh bien , je suis de son coté;

Vous affectez trop de sévé rité.

La lih<'rté n est pas touj ours licence.

On peut ,

jP.

crois , eatendre avcc décehce

De la ga ieté les inn ocents éclats,

Ou bien sembler ne les entendre p as :