LA PR U:QE.
LE CHE VAL I E ,R MO N~On..
Sans do'ute.
DORFISE.
Laissez-moi done parler;
i1
est ...
LE CHEVALIE R MONDO R.
J'écoute.
DORFISE.
Il est enfin
fort
dangereux pour moi.
Mme
BURLET. ·
On
dit
qu'il a tres bien serví le roi,
Qu'il
s'c:st sur mer disting~é dans la guer~·e.
DORFISE.
Oni, mais qu'il est incommod e sur terre (
1)
!
LE CH.EVALIER MONDOR..
II
est encore...
DORFISE.
Oui.
L E CH E V
AL
I E R M O N
DO R.
Ces marins d·aill eurs
Ont presque tous de si vilaines mceurs.
DORFISE.
Oui.
(1) Il
y
a dans l'anglais : Vous m'a,
1
ouercz qu'il a une belle
physiono:µiie , un air mflle.-Oui : ilressemble
a
un Sarrazin peint
sur l'enseigne d'un cabaret:
il
a du courage comme le bourreau ; il
tuera un homme qui aura les -mains liées, et il n'a que de la
cruauté ; ce qui ne ressemble pas plus au cournge que la médi–
sance continuelle ne re.ssemble
a
de }'esprit.