NOTES.
( 1)
J
M 1 TA TI
o
N
ennoblie de cette pensée d'Horace :
Pers,equitur pede pCX!na claudo.
On
e'n retrouve une autre da·ns
Oreste :
La
peine suit le crime, elle arrive
a
pas Ients.
(2)
Voyez la
Mo rt de César ,
acte premier, oú l'on retrouve ,
le
meme fond d'idées , mais avec les nuances qui conviennent
a
la
dif~é1~ence des_caracteres.
L'un
parle en tyran ambitieux , l'autre
en
scelerat.
(3) lruitation de Maffei.
(4)
Imitation de Juv énal :
Etfruitur dies Íratis.
(5) Ce beau mouvement est imité de Maffei.
(6)
Ce récit et le discours de Mérope sont une imitation tres
embellie de Maffei. M. de Voltaire ne s'était d'abord p roposé que
de traduire la
J/férope
italienne : il avait meme commeucé cette
traductiou , dont voici les premiers vers :
Sortez, il en est temps , du sein de ces léuebres :
M.ontrez-vous, dépouillez ces ve tements funebres ,
Ces tristes monumen ts, l'appareil des douleu rsj
Que le bandeau des rois puis e essuy er vos pleurs ;
Que dans ce jour heureux les peupl es de Messene
R econnaissent dans vous mon épouse et leur reine.
Oubliez tout
le
reste , et daignez accepter
Et le sceptre et la main qu'on vient vous présenter.
Mais on trouve dans la lettre de M. de la Liudelle les raisons
qui ont d étourné M. de Voltaire de cette entreprise.