ACTE V,
s
CENE VIII.
IOI
SCENE
VIII
et deroiere.
MEROPE, EGISTHE, ISMENIE) NARBAS,
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EURYCLES.
AH!
montrez-vous, ma<lame,
a
la ville calmée:
Du retour de son roí la nouvelle semée ,.
Volant de bouche en bouche, a changé les esprits.
Nos amis ont parlé : les creurs sont attendris:
Le peuple impatient verse <les pleurs de joie;
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adore le roí que le ciel lui renvoi e ,
11
bénit votre fils,
il
bénit votre amour,
11
consacre
a
jama is ·ce redoutable jour.
Chacnn veut contempler son auguste visage;
On
veut revoir Narbas; on veut vous rendre hommage.
Le nom de Polyphonte est par-tout abhorré;
Celui de votre fils ·, le vótre est adoré.
O roi
!
venn jouir du prix de la victoire;
Ce prix est notre amou~·, il vaut mieux que la gloire.
ÉGJSTHE.
Elle n'est point
a
moi; cette gloire est aux dieux:
Ainsi que le bonheur, la vertu nous vi cnt d'eux. ·
Allons mouter au tróne, en
y
pla~ant ma mere ;
Et vous, mon cher Narbas, soyez .toujours mon pere,
FI.N DU CINQUIEME ET DERNIER A<':TE,