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ACTE III, SCENE III.

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Et je te donne au moins, quoi qu'on puisse eutreprendre,

Le temps de quitter Rome, ou d'oser t'y défendre.

Plus de reproche ici sur tes complots pervers;

Coupable, je t'aimais; malheureux, je te sers:

Je mourrai pour sauver et tes jours et ta gloire.

Adieu : Catilina doit apprendre a me croire;

Je l'avais mérité.

CA TI

L IN A,

l'arretant,

Que faire , et quel danger?

Econtez... le sort change, il me force

a

changer...

Je me rends... je vous cede.... il. faut vous satisfaire...

Mais... songez qu' un époux. est pour vous plus qu'un pere ,

Et que, dans le p éril dont nous sommes prcssés,

Si je prends un parti, c'est vous qui m'y forcez.

AURÉLIE.

Je me charge de tout, fat-ce encorde ta haine.

Je te sers, c'est assez. Fille, épouse, et Romaine ,

Voila tous mes devoirs, je les suis; et le tie

Est d'égaler un creur aus~i pur que le mien.

·SCENE IV.

CATILINA, CETHEGUS, affranchis , LENTULUS–

SURA.

SURA.

Es

T-c E

Catilina que nous venons d'entena.re ?

N'es-tu de Nonnius que le ti mide gendre?

Es clave d'une femme, et d'un seul mot trouhlé , .

Ce grand creur s'est rendn sitót qu'elle a parlé.

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