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ACTE V,- SCENE ll.

4n

bon gentílhomme de la-haut. Je me sens, ·vous dis-j e ;

de la bonne volonté pour cette demoiselle.

(.

SCENE

III.

LORD MURRAI, LINDANE, POLLY .

LORD MURRAI.

ENFIN

done •. je got1te en liberté le charme de votre

vue. Dans quelle maison vous etes

!

elle ne vous con–

vient pas; un·e plus digne de vous voüs attend. Quoi !

belle Linda ne, vous baissez les

y

eux , et vous pleurez

!

quel est ce gros homme qui vous parlait? vous aurait-íl

causé quelque chagrín

?

il en porterait la peine sur

l'heure.

L I N DA N E ,

en essuyant ses larmes.

Hélas ! é'est un bon homme, un homme grossierement

vertueux, qui a eu pitié de moi dans mon cruel malheur ;

qui ne m'a point abandonnée, qui n'a pas insulté

a

mes

disgraces, qui n'a point parlé ici long-temps' ama rivale

en dédaignant de

me·

voir; qui, s'il m'avait aimée, n'au-–

rait point passé trois jours sans m'écrire.

LORD MURRAI.

Ah! croyez que j'aimerais mi eux mouri; que de mé–

riter le moindre de vos r eproches. Je n'ai été absent que

pour vous, je n'ai song@

qu'a

vous, je vous ai servie

malgré vous. Si, en revenant ici j'ai trouvé cette fcmm e

vindicativc e.t cruelle qui voulait vous perdre, je n e

me suís échappé un mome nt que ppur prevenir ses des..,.

seins funcstes. Grand Dieu

!

moi ,' ne vous avoir pa

écrit

!

/