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336

L'ÉCOSSAISE.

SCENE

11.

Le

lord

M

O NRO S

E , FA

B

R

i

e

E ,

F RE

Lo

N'.,

MOÑRÓSE.

Vous etes

M.

Fabrice,

a

ce que je crois?

FA.BRICE.

A

vous servir, monsieur.

MONROSE.

Je

n'ai que peu de jours

a

rester dans cctte· ville.

O

ciel

!

daigue m'y protéger... Infortuné que je suis

!...

On

m'a dit que je serais mieux chez vous qu'ailleurs, que

vous etes un bon et honnete hornme.

FABRl{;E•

Chacun doit l'étre. Vous trouverez ici, monsieur ,

toutes les commodités de la vie; un appartement assez

propre , table d'hóte, si vous daiguez me faire cet hon–

neur, liberté de manger ohez vous, l'amusement de la

conversatíon dans le café.

MO NR OSE.

Avez-vous ici beaucoup de locataires

?

FABRÍCÉ.

Nous

n;avílns

A

présent qu'une

jeu1rn personne, tres

belle et tds verfüettSe.

F R ÉL .O

N.

Eh,

oui, tres vertueuse,

h~,

hé.

FABRICE.

Qui vit dans la plus grande retraite.