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L'ÉCOSSAISE.
SCENE
11.
Le
lord
M
O NRO S
E , FA
B
R
i
e
E ,
F RE
Lo
N'.,
MOÑRÓSE.
Vous etes
M.
Fabrice,
a
ce que je crois?
FA.BRICE.
A
vous servir, monsieur.
MONROSE.
Je
n'ai que peu de jours
a
rester dans cctte· ville.
O
ciel
!
daigue m'y protéger... Infortuné que je suis
!...
On
m'a dit que je serais mieux chez vous qu'ailleurs, que
vous etes un bon et honnete hornme.
FABRl{;E•
Chacun doit l'étre. Vous trouverez ici, monsieur ,
toutes les commodités de la vie; un appartement assez
propre , table d'hóte, si vous daiguez me faire cet hon–
neur, liberté de manger ohez vous, l'amusement de la
conversatíon dans le café.
MO NR OSE.
Avez-vous ici beaucoup de locataires
?
FABRÍCÉ.
Nous
n;avílns
A
présent qu'une
jeu1rn personne, tres
belle et tds verfüettSe.
F R ÉL .O
N.
Eh,
oui, tres vertueuse,
h~,
hé.
FABRICE.
Qui vit dans la plus grande retraite.