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-CATILIN-A.
Notre hymen lni déplut -, v0us le savez assez;
lon bonheur cst ún €i'irnc
a
ses yeux offensés.
On
<lit que Nonnius éirt man<lé ·dc Préneste.
Ql!lels effots il verra 'de cet hymen funeste
!
Cher
époux,
qllel
uságe affr<rnx, infortuné,
Du pouvoit que· sirr ~mo,i l'amour vous
a:
_douné
!
Vous av·ez
~n
·partii;
'i:haiis
Cicéron, mon
pere,
Caton, Ron:re) les <ilieux, sor-rt d~t partí c<;mtraire. '
P eut-etré Nbfiniús vient.-vDi1s perdre aujourd'hqii.
CATI LIN A•
Non, il ne -viendr:i poin
t;
ne craignez ríen de lui . '
AURÉLIE,
Comment ?'
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Ro~~ il ,né p~urtá ~e ~rerid~e -
Que pour y · re,spe~ter et sa fille et son gendr.e.
Je ·ne puis m
'expliqu.er; ·mais ~óuvep.~z-vous bien ~
Qu'en tout son intéret s'acco~de avec le
m1.en.
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Croyez, quand il verra: qu'a;veG luí ,je part~ge ·
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De
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jus~es p~OJ ;,~s
le ·
pre!llier av~1~t~ge·,
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Qu'i'l ;~ra \ rop heureux, d'abjurer dev:~nt
moi
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Les superhes tyrans
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il te~ut la.loi.·
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Je vous· ouvre
a
tous
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~l -v0us devez m'en croire,
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~~~f.~,e. éi~~r~elA~
et _,d/honp.,,eur,
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