,ACTE V,
SCENE IV.
*Toi, dont j'avais tant craint l'esprit fermc et rigide,
*Avee tranquillité permettre un parricide
!
LISO IS.
• Eh
bien! puisque
Ja
bonte avec le repentir,
*
Par qui la vertu parle
a
qui peut la trahir,
,,. D'~n si juste remords ont pénétré votre ame ;
* Puisque, malgré l'exees de votre aveugle flammc,
" Au prix de votre sang vous voudriez sauver
,,. Le sang dont vos fureurs ont voulu vous priver,
*J e puis done m'expliquer: je puis done vous apptendre
*Que de vous-meme en
fin
Liso is sait vous défendre.
*Connaissez-moi, madame, et ealmez vos douleurs.
(
Au
duc. )
(
A
Amélie.)
*Vous, gardez
v.osremords ; et vous, séchez vo~ pleurs.
*Que ce jour
atous tr.ois soit un jour salutaire.
*Venez, paraissez, prinee; embrassez votre f¡er,e.
( Le théatre s'ouvre , Vamir parah.)
SCENE V.
LE
DUC, AMELIE, V
AMIR, LISO IS.
AMÉ LI E.
*Qui! vous?
LE
nuc .
Mon frere ·?
AMÉLIE.
Ah ciel!
LE D"!J C.
Qui l'aurait pu penser?
VA.MIR,
s'avan~ant du fond du théatre.
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J'ose encor te revoir, te plaindre, et t' embrasser.
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