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168 LE DUC DE FOIX.
*Puisqu'a ravi L' ma foi votre haine obstinée
*Veut ou le sang d'un frere, ou ce triste hymén ée....
*Man choix est fait, seigneur; et je me donne a vous :
*A force de forfaits vous etes man époux.
*Brisez les fers h«?I?teux <lop.t vous chargez un frere;
*De vos murs sous ses pas abaissez la barriere;
:,¡. Que je n ~ tremble plus pour des jours si chéris;
*Je tr.ahi_s man amant, je le· perds a ce prix:
:,¡.Je vous épargne un crime, et suís votre conquete.
*Commandez, disposez, ,ma main est toute pre te.
*Sach:ez que cette mai.n que _vo~s tyrannísez ,
* Punira _la faibless·e 9ú vous !Toe réduisez.
,,,. Sachez qu'au templ e meme oú vous m'allez condµi i:e ....
*Mais vous voulez ma f~i, ma foi doit vous suffire.
* Allons.. .. Eh quoi ! d'oú vient ce silence affecté ?
* Quoi.,! votre fr~re e.ncor ~'est point en li.b~,rté ?_
• ~ • I (".. > I
L , , ;DU ~.,
,i:Man frere? , (Jj .,
AMÉLIE ..
'I.
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; ;D~ieq ,puissa11t! di mes arlarmes,
,,. Ciel 1:0.e ,Y.eux , je vois tomber des }armes !
•,.. • I 1 •~ ~
*Vous demandez sa vie !
A M :ÉLIE.
, . Ah! .qu'est-ce que j'entends ?
* Vous qui m'aviez prom'is.'...
f
~ El D U-C.,
> Ma,dame., il n'est plrrs temps.
AMÉLIE.
?t 11 n'est· plus temps ! Vamir.... . ) ,.