V U I
V UI V UL
ne maniere cxrraordinaire , Íc rdferrc bien rCH pat
déíqucllcs on voit le champ de l'Ecu.
D~1tzm·
J.
le mayen de (es propres fibrcs. L..:s pares Íc rem:-
la cro1.'C cleclJle
,
vuidle
&
fle11ronnt'e d'argrnt.
ciíTCor,
&
les humcurs qui
onr
éré 2maífécs
pcn~
Il
fo
dit auffi de ce qui eft échancré ,
&
dont
dam
12
grolfc(fe, íom exprimées ;
&
c'dl ce qm
la
largeur eft diminuéc par une ligne cour-
foic Jes purgationS qui Íl\IVl:.nt J'aCCOUChement.
lL
~C;l;::or
,
.f
la Croi.'t; CÍe,ht'e
,
'VU{dfe
efr
pom-
~:Ct j;b~:i~J~~Cfa~l~~;!aJ;\~~ :C.;;~~11rui~eC!~r~:;
VUIOER.
v. a.
Remire 11uidt.
AcAD.
h.
On dit
~~~ ,
1
l~a~;~~ ~~n(~~·~
0
::~~~~1~~i~:urÍ~n{s~·o~~r~~
;;
,tc¿;:~~s
t:
~~~~r:,fe'~~~~~~: 1
1
~::es
1
,ª~~~.:~~
~~~;f,cPº;;~leq,u~
11
~i~rr~n~;~~r~a~ec:!~~;:atélfi
:~~ff:rur~~.e
pl2ce ,
&
faire quºe\lc íoir·égale
a
le ÍJng délayé ne vient 9ue de
la
matrice ,
o~
On <lit, en termes de Peignier ,
'f/u;dertm pei-
~~:11:t:;er~fc~t\:cnd~:1~ª1i~~~ll~~{!~~:~¡~~u,efe~~
·~:e~Jd~t~;sF~~~~ ~~~~~:~u~~~~rº;i~~~¡!~~~
~~p~~i;c:u:~
1
e~~~iu~:ii~~~efe~¡ c;eA~o;e,::sr:~;rr:
do:
~,~d;; c;;1~led~t~°mpe~~~·
ce qui
dl
au
mi-
en auiranc le fang vcrs les parcics.
':-e fang les
lien d'une cho(e , y faire des ouvertures. On die
diílend
&
les ouvre ,
&
s'enfuic enfone. Etcmul-
en ce Íens
Vuider une roue, vu;der
1111
cercle.
On
ler die qn'il
(e
fair peut-Ccre alors une fcrmenra-
die
2uíli
Vmder un canon,
pour dire, Le perccr,
rion (cmblable
:i
ccllc du cemsdes menílrnes.
On a
le forer.
fujec de le croirc
pardivc.rsíympcomes qui arrivcnt
On die , en cermes de Découpeur ,
Vuidtr d11
de la foppreOio
n des Vu1danges. La durée de lcur
drap, du velour1
>
ou
r¡uelqne lflttre t'roffe.
pour
flux cíl: d1ffcreme, felon
la
conílirurion de l'accou-
d1re. la figurer de cdle forre qu'elle
foit
percée
chée. L'ordin2ire eft de huic JOllfS,
Il
eíl: quelque-
:i
jour, ou la cailler avec des cercles rentrans.
fois de quinze ,
&
m(me de rrcnce. Ce Aux .ell
Vuidtr un oifiaH
,
en termes de Fauconnerie,
~b~n~~~~.
0
~nÍ:~i~s ~~J:~~~t;a~d pll~sm~~ri
1
~~o~~~
~fi~~~~le;~ fu~r~~;/ ~
;-;¡::,.
~nfe
11
;:~~;~ Ó~·~~
~~!~;;:¡~;.e
ddfechée, elle
fe
r:unalfe en
la
forme
;~~~~e .F~:::t~:: /~J~!'~~~,?o~~rn~~:~JsL~fo~~~
VU IDE.
f.
m. ·Tenne de Philoíophie. Eípace qui
tournés.
íelon Epicure
&
GaílCndi n'cll rempli d'aucun
V U 1
DURE. í. f. Ce qu'on Ote de quelquc cho-
cocps. lis clennem qu'il· n'y
.ª
poinc de Vuide fenp
~:·li;ée~fee~g;:~;~~Pá~l~~c ~:id¡;~c=r~~t~;;e'igl~~~
~~led~ ~~ti~s c~l;~~ ti'tu~tJsº:º~u~;¡sr~~~1: i~~~~~,:;:
Ymdrm
eft aufll un cerme de pluíieurs aurres Ani-
libles ; mais qu'1\ y
'l
de pccics Vuide¡ mfcnlibles
fans.
&
fª.rmi les Découpeurs ce mor
lignifie un
&
exu·Cmemenc pecics qui font
r~paodus
enue les
ouvragc a jour.
panics du corps.
C1:
qui
le
faic cro1re, c'eft que lc:s
\V IC.H.
C.
m. Selle chés les Anglois qui
commen~:i
chafes
ne
pourroienc Ctre mues, s'il n'r avo1t
po.mc.
en 1678. Ce: nom fue donné
i
ceux qui croyoiem
de ces penes Vuides. Lc:s Ancicns fe {om 1
m;¡gméréelle
la
conípiracion d'Idande.
11
efl oppoíé
d.
que c'eroit par
la
cr:linte du Vuide que l'eau s'éle-
ToriI
qui
vc:uc dire
11/{rlffin.
On :ippelle aujour-
voic dans les pompes ;i(pirames , au lieu que c'eft
d'hui
W
1grh
les
Prefbyceriens
&.
les parriíans du
h
pefanceur de l"air qm
cll
caufe de cctce éleva.
Roi Gc:orges,
&
TorJI
les Anglicans.
tion.
La
machine pneumacique de
M.
Doyle efl: m1e
W1RT!>CHAF. Í.
m. Sane de mafc::irade qui
íc
faic
r.:~;'~~
1
~l~i!ih~~~!~;
1
~~1:q~~r~~;l~~im~~~rn~
0
t~f~~
;~uíi~~;;n:~~fio~s ~·~ f¡:~
1
r~ifi-~~~n~ ~t~uliese~ri~~
roienr plus vivrc::.
ces. Ce moe efl: Allem:md , forme de celui de
Vuidt
,
en tc:rmes de Ma)onneric, íignifie une
f/111rrh,
qui fignifie HOce ,
&
veut dire, Com,
ouvcnure, une baye qui efl: dans un mur. On dir
pagnie de l'HOce , commc qni diroit Divcrri<re-
cn ce fens qu'On
af1ut 111archf
.t
di.Yfranc1 ltt to1fe
mene d'uncaprCs foupée d'aubergc. Tons ceux que
tant pltin que wúde,
pour dire, qu'On doic p:iyer
le haz.ard
fait loger eníemble , ayant réfolu de
dix frnncs pour chaque toife , en y compn:nanc les
faire
un
\1Umíchalf en fe déguifanr , on foie des
~~;:~s(~j~:~ ~~iC~:e~;sc~~l:i~I~ J~m;te;::e ~~º(~
bill;rs
qu~conciennent
amane ele noms de mécier
compre poinr. On dit :iuffi
Efpacer unt plein qHt
J~:~Ón
a
ch~iri;n~rd~~a?r~~~~: ~~~m~~!~r~j~~~~~~
11uidt,
pour dire, Peupler de: íolivcsun plandu:r,
pla1f.ms,&
quelquefois les plus vils ,
&
aprCs
en force que l'on donne aux cnm:voux auram de
que les billets onc écé cirés au íorr , chacun s'hl..
la1geur qu'en om
les folives. O!!and
les cru-
billc felon le métier qui lui cfl: échíl.
rneaux íonr auffi larges que les croiíées , on die
<JU'i/1
j0ttt
efpacf'1 tant plein
t¡Ht
1111ide.
On die
encare que
Le1 11uidei d'11n mur de face ne fant
par églfu.t· 4U.\' plám,
pour dire , que Les bayes
J~~t fo
1
~~s n~~i1~d~~~~~o;,ffe,.
1
:~::~~~~~;e~::i::~~
de,
íonc des cennes dom on íe (en pour dire , De–
vc:rfer
&
forrir hors de fon aplomb.
On appelle
V11idn,
dans des mursde ma<¡onne–
rie qui fonc trap épais , Des chambreues ou des
cavicés que l'on pratique , ou pour faire que la
charge peíe moins, ou pour Cpargner la dépen(c
dela maciere.
VUIDE',
E'E.
adj. Tcrme de Blafon.
Il
fe
dit des
cro1x
&
des aurres pieccs ouvcrces
>
au cravers
VUL
VULNERAIRE. adj.
Terme de Chirurgie.
On
ap–
pelle,
Potionvulntraire
,
Une porion proprc pour
la
guerifon desplayes, ulceres
&
fiíl:ules deíeípe–
rées. Elle dl e lmpoféc de plufieurs limpies ,
&
ferc
:i
tc:nir les Jmmeurs du malade remperées ,
&
:i
empCcher l'inAamm:irion
&
la fievre. A l'égard
de ces Cortes de potions , il
y
a une grande dif–
ference!
:i
faire,
Ílliv.mrles parcics blcflCes,
&
on
doic choiíir les Ílmples pour chaque potion. I.orf–
qu'il s':igit de tirer les ordures mucilagineufes , le
pus , les eíquillcs
&
les os hors des playes, il
fauC"
preparer la potion vulneraire en prenant de la