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URS URU

ncs dans les facri6ccs. C'cíl:oicnc des vafes oU l'on

~~;O~~tv~~s;~i~;é~sÍu;~,c~r~:~~~u;~·~1;1ir~;:~?c~~~;

lctib~

:;;~1r:~~C:,l~¿~\~;;;~d~

ler.chitcé\urc,

Une

cfpece de vafe largc

bas, qui fcrt d'amonif1C–

mcnt Cur les baluíl:radcs,

d':mribut aux Aeuves

aux rivieres d:u:as les groues

dans les fomai–

nes des jardins.

Vnu

funtr1tire

fe dit d'une cfpcce

de vafe couvcrc avec des orncmens de fculprurc,

qui fen d'amonilfcmcnt

un tombeau,

une co–

lomne •

une pyramidc , ou

quelquc monmncnt

funcrairc ) ce qui fe

fait

l'excmple <les :mcicns

qui renfermoicmdansces

foncs

d'urncs les cendres

des corp' des dCfums.

U R S

URSULJNES.

Rcligienfes qui fuivent la Regle

de foinc Auguíl:in,

qui oncun habit noir avec une

jupe grife par ddfous. Elles fom'obligées par lc:uu

íl:atucs

prendre foin de l'infl:ruélion

de l'éduca–

tion des jeunes filies. On les a nommés

Vrfi1lints

cauíe qu'elles om pris íainre Uríulc pour lcur Pa–

tronnc. Quclques Auteurs onc écrit qu'il n'y avoit

jamaiscu de famtc Uríule ,mais l'autorité de la fCce

flo"~º7n~~lt~~~ec~~c~e:·1e~·~c~í~~~ee~;~~f~~

~:~1~~~eE~~

écoic filie d'un Prince de l'Ifle de la grande Brera–

gne ,

Conan qui écoit Chrécien

Princede I'.Ar-

1uorique ou perite Brer::i.gne, aprC.s que Max1me

qui s'écoit f:

:i.it

íaluel' Empercur en

3h.

s'en fueren–

du malcre,

y:im envoyé des députés en l:i grande

Brccagne pour

deman<lel' en mariage

fon pere

Dionnoc Roi de Cornouailles, elle lm fue accqr–

dée.

~and

elle fe fue embarquée

Londres , une

~~j~~~e:mJ.~~taelll~ ~ol~~~i;~1r

l~i~~t:e~~ ~~e;b~~~

chure du Rhin ;

del;\ clic

avan~a.

vers Cologne

parce Aeuve. Les Hunsqui11tenoiemalors la campa–

gne pour l'Empereur Gratien , voy:int desVaifl(::aux

aes

Brerons leurs ennemis, les ::maquerenr,s'en fai–

füent,

ayant voulu forcer

PrinceffC Urfule

qui :inima comes les filles qui l'accompagnoiem

lcur rcliíl:er , ces b2rbarcs irricés de leur courage

du mépris qu'elles foifoientde la more, les maCfa-

;~f:~~.r i~~~1~b~~g;:~e

su~~~t~~ ~~~i:sq1~~~sp~~cf:~

cile

décerminer. UÍU:ird , qni étoic du huuiémc

fieclc, dit feulernent au'elles écoienc en grand nom–

bre. Sigebcrc , qui

~ivoit

:iu commenccmenr du

douzié:me ficcle , en marque onze mille ,

quel–

qucs-uns prétendentque le chiffre RomainXI.M.V.

qui fe crouvc dans des Titres anciens, vem dirc

Onze Manyres Vicrges,

1!-c

non pas onze millc

Vicrges. lindan , EvCque de Ruremoncte , rap–

porre. fuivam l'attctlacion des gens du pays que le

lieu oú ces Filies onc écé encerrées

:l.

Cologne ne

fs:auroir fouffrir aucun :iucre corps,

qu'il le re–

jcnc :mffi - t&t , quand ce feroit mCme le corps

d'un cnfanc. PluCicurs écrivenr

prononcenr

Vr–

felines.

U RU

uRUCU.

m. Nom que donnem les lnliens

l'ar–

briffcauqui porte

Roucou.Voyez

ROUCOU.Se

–

lon quelques-uns c'dl un arbre qui

huir on nenf

bi~: t~e~~eusc:~:~ ~é~e~~sÁcp~~~c;! f~1\\Fi~~sil~~tbJ~:

gouffcs garnies de perites épincs tom mnour ,

qui approchem fon de la couvermre de nos cha-

U S USA

u.ignes. Elles enferment une perite gr;iine rouge

qu'on brife dans un monicr ou fur une picrre

& ·

qu'on mer enfuice d;ms des vaiffeaux rcmplis d'eau.

Le Roucon fe fait dans les lfies <le l'Amenquc de la

,mCme forte qu'on

fait

ici l'amidon.

US.

rn. Vieu:..:: mor. Pone.

Et I'11sotdtftr1111tbArrt.

a écé dit auffi

pourCoUco.me,

en ce fcns

viene du Latin

Vfus,

Ufagc.

J'aim' par coujh1mt

far

Llf

01l nus ntptutatttmdre.

On fe fert encare d:ms les contraesde cene clau...

fe generalC,

Pour

¡011ir ftlon lts

Vs ér

cotÍlllmts

dts luux.

On dit a.uffi

Lts Vs

CoÚ/Hmts

dtt

E aHx

Forhs.

On appelle

Coút1tmts dt lamtr,

Une loi

par b.quellc les Proprieraires

les Maicres des

Vaiíleau:< Marchands fonc obligés de fatisfairc :rnx

avaries qui fe fonr en mer. Cés Us

CoUmmes

conliílem en trois Reglemens , done on appclle les

premicrs

Ju •tmtns d'Oltron.

La Reine EIC"onor, qui

étoic DucheCIC: de Gnienne, en

fit

foire les premien

erojccs , lorfqu'elle fur revenue de

Tcrre-fainre,

fur les Memoires qu',elle rapporta des CoUmmes

du lcvant , oU

le commercc éroic extrémemenc

!º:~~d;n~l·~n"~~~fc::::r ~;~~l~~~1h~!º~~;.1~~e~(:

fcnt nommés

Rollts d'Oltron.

Richard Roi d'An

glcccrre , fon Fils , les augmema en

n66.

Les

Marclunds de la Villc de V1fbui, limée dans l'Ifie

de Gorland ,

firem dreCIC:r les feconds Reglcmens

en langagc Teuthonique. Cene Villc otl tomes les

Narions avoient alors leurs quaniers, boutiques

ou m2gaíins ,

que le cornmercc rcndoic rrCs-ce-

~~~~ ~~~ r~~f~fi~~:~~~~C:~~I~n~ lrd~~C~ersp~C~~~=

tre obfcrvés encare au1ourd'hui par com le Nord.

fit

les troiCiémes

Lubcc vers l'an

5?7·

ils

~~;s~r¿~~~

r::

!~~ ~'~~t~e~~ ~l~

·~~ ~r:f~ªt~:

Ordonn:inces qui reglent les contraes maritimC"s ,

la junfdié}.ion de la

Marine~

tant en Francequ'–

en Eípagne.

.U S A

USAGE.

Coú111mt, pratiqs1t rtfllt.

AcAn.

Ft1..

Uíage, dir Nicoc,

tj}ce911tlt Lmindit

Ufus,

dont

de{ctnd.

Ufagc:

aflfJife

prendpour coUtumt

•

ft–

/011 Cto111ro11vtfa11vtnl au

Couflumitrd~

Franctcts

dtu.v mou

Ufagc

Couftumc1ourm1tmtfinrchoft,

a11tt111t

q1u

Couíl:ume

n'rflautrt chofe 911t lt com–

mun Hfatt dH pmple tO#ChAnf 9utl911t choft.

pluritr

Ufoges

fonr pafl11 011 bois tatl/i1 e¡u'on apptlle

Communes

Ufoelles,

parce 911tch11cund1qtu–

plt a droil d't1111ftrpourpajh1rtrfon bt/h•il

r!r

11voir

fonchauffege.

Ce mot

Vfagts

au pluriel , lignifi.e encore au–

jour<l'hui les biens porredés en commun par les

Communaucés de quelqnes Paroiffes pour

fairc

pairre Je bécail , comme beis, rªmrages, broíl:iil–

Ies , cerres vaines

vagues, ou chaque p:miculier

a droit ele mener fes beíl:iaux , .& de prendre du

bois pour fon

ufo.ge.

Vfa1,rs,

en termes de Libr:iiric, fe die des livrc:s

d'Eglife, eles foncs de Prieres , Breviaires , Mif–

(els , Diurnaux, Pomific:rnx, Proccmonnels, Ri-