TER
!erre
a
rerrc) qu'il ne
faic
quaod il manic
a
cour.:..
benes.
TERREAU.
f.
m. TcrrcnoircmCléedefumierpour–
ri,
dom on fair dc:scouchcs pour fuirc venir des me–
lons,dcs champignonsdans les jardins
pOl:i_gcrs.
On
~~~,~~rctrªd~1!u
0
r
0
;01~~rl~~· }~:181
1
~e~;;c~easl;c~!sºd~
broderic.
!~~~!~~~ ~u~~~;fo1s ~:~~lº~! ~:c~~:i~c~r;~iic~~
&.
quelc¡uefois de Cable, de glaifeou de vafe. On
:appclle
Ttrrtin áe
ni11ttfll,
Une étc:ndue en fupcrfi..
c1c
de
terrc
drclféefans qu'cllcairaucunc
pen~e,
&
Tarán
pAr
chríus,
Cdui
dom
b.
continuicé
dl
10tcr–
rompue,
&
que des pcrrons ou des glacis racordcnc
avec un amre
ccrrein.
TER~TE S
499
jttfqu"au fond. On 'ap_ecllc
Terrint dtdlpArt,
Une
fone de vafe done on
k
fercdans les operations de
Chymie
&
de Pharmacie.
~!~~~~¡:; [~-m~f~~t~~t~~r:
1
~~~: 1º~;~~sn,e~~;o~
1
~
f~:~:~~r!:~~~·r:~~falkn,d~~~l~~7aill~:~;~c~!:::
par la chaleur dn Soleil.
Terrir
,
efl: auffi un tcrmede mer ,
&
lignifie non
fculemenr,Prendre rerre aprCs uoe longue traverfée,
mais auffi, Avoir la vUe de
la
(erre.
TERS. adj. Vieuxmor. Frotté.
11
v1cnt du l atín
7
tr–
gert.
On trouve ce mot employé ::i.u parté indéfini
d2ns cet exemplc :
J'avo7t
'"'
Jidoinr,
fi
tn ttr1 IA
churedt
Je/in
,
&
au prcfent dans ce vers.
.f<.!;,i
!;
ttrfl
!t1
JtH.~,
{4
f1tce-.
Terrw1,
en termesde M:mége ,_fignifie l'cfpace
~~ :;¡cª~~gu~L3;,h~;~/~l~/e:~;;,;;;Jo~ ~~;;~::g~~~
•
T
~~r}et~,~;n~· u~·So~~~:fesdÍix ~;;~~~s~;:sJ!;~tt~
bunfon u rrtiw. tmbrttffe bim fon terrtin,
pourdire,
te fone tl'ouvrage , dom
!'un
des trois da prcmicr
qu'll ne s'élargir ni ne
Ce
íerrepas plus
:i
une main
Terferrimeavec l'undes croi.s du fccond.
'<lu'3
l'a.ucre.
TERTRE.
f.
m.
Perite éminence
de
rerre, Corte
de
Terrtm.
Terme de Poricr. Vafe oU
il
y
:i
de
pctice mónragne qui s'élcve dans le milieud'une
l'eau pour crempcr les mains quand on tournc des
plainc,
&
'J_ui n'dt arrachéc
:i
aucune cOre. Nicot
pors.
·
croit qu'il
~1ent
de
Terrtj/rt
, en retu.nchanc la fyl-
TERREPLAIN. f.
m.
Terme d'Archi[ellure civi-
Jable dL1milieu. 0''3utrcs le dérivent de
Ttrr1tt11m,3.
le.
11
fe ditde [OUCe cerrc
u.ppon~e
encrcdeuxmurs
caufc
que
c'cfl une efpece de terraífe.
de
ma~onncrie
pour fcrvtr de ccrraffeou deche- TERTULLIANISTl!S.
(.
m. Scd-acrurs de la doc-
rnin, afin d'-avo1r communication d'un licu
:i
un
crine de Tcrmllien, qui vivoic fous PEmpcrcur Se-
aurre.
vere environ cene foixance
&
dix
:ms
aprCs
Ja-
Terrepl1ti11,
en termes de Fonificarion, cflla par..
fu~r;~sHd~ Ío~Íic~l~, ~~¡ l~id-~opi~u~i! ~~~:d:~:
:i~e~~~e~~l~J: :~n~;~~:~1}d:f~~~:~ ~u~~~~~~~~
des erreurs qui le hrcnt cxcommunier. les
prin~i-
du canon. Elle cíl: rcrminée du cOté de
fa
campagne
pales éroient que l'Eglife Rom::i!ne
n
'ordonnoic
par
un
parapet,
&
c'efl:
le
talus imcrieur qui la tcrmi-
poinr aefés de jeUnes
&
d'aufl:~rités
corporellcs;
ne du cOré de
la
Place.
qu'on
y
pardonnoit
:l
ceux qui faifoient penitence ,
T~~~o~~~~-tt~rf~:ut~";;:¡t'cg;:;,~;,,,':g~;.:~
';!;¡
~ t~:v~I~~~ª~¡~~ :v~~ts ~:.~a~f~~otree~¡~~¡;~~~{~
preft111 , ou d'1m pl"rd proch11in.
A e
A
D.
F
R..
La
que grand crimc.
1f
ne .croyoir pas d':.tllicurs que
Tcrreur engendre fouvc:nd'épilcpfie, &des mou-
Uieu
ñu
purcmem fpirirncl,
&
ll
cnfeignoir qnc
vemens convullifs
,
violens, en donnant un mou-
l':imc de l'homme éroit corporcllc :ivcc forme
&
Vement impcmeu;x
&
déreglé aux cfpri1s. Les En-
figure, que ccl'.c du Fils é1ott.cngendrée par ccllé
~~~s~~·t¡~íl~~;o~;;n1~~~: ¡:~r:i~~~;~~~J~:~j~~r~~ ~~l~~req~.~flcq~~;e:~~r"d:c:~~;~~;ta~!~rr~rÍn~:ºJ~
furfaur.
Le~
cruditésde l'e{\:01m.c en font
b
caufe,
la
dimínurion avec le corps,
&
que cellcsdes
mé-
&
fur-rout les crudicés acidcs, en forre que les en-
chancs 2prCs
la
more éroiem convertiCJ endiables.
;~~:m~~t~f~~rt;~:l~~/e~~u~cn:c;~~~~~~~;~~nf;;~ ~:::~;:1:~ ~vp~;r~e;~!~J;1~~f~t: ;~~~eª~~~edd~=
-acres que l'on donne contre res terreurs noaurnes ,
fa~e
d'2rmcs
&
de guerres parmi les Chrétiem,
&
le mechoacan
fcrt
d.
purgcr
le
lair corrompu. OucrC
ua.uoit les fecondes noccs
d'adultere~
cela
J
il
fom
faire p1cndre
a
l'enfom d:rns
(.¡
bouil–
lic, de
la
poudredes femcnccs d'onis, d'ancolie,
&
de·fuccin préparé, ou
lui
donner Je
fpecljicum
,
le
etph11li&11m,
avec la femence d'anis. L'luUlc d'anis
dinillée efl: auffi un
puiílam
remede pour
Je
méme
mal.
On en enduir fur les temiles quelques gouncs
fi:~:~rr~~ufi~~ ~~ii~~f~i~~;
1
::er~
1
~éeed~: ~tif~~;;
·la
peur!eendant le fommeil vicntde l'explofion im-
.
h~~u~~ ~o:f;r~~~·~i~~:~;n~u~~~~nJ~~~~~;:f; J~~!eªn~
en foule,
&
fecoucm inopinémenc tour le corps par
le
r~oyen
des convulfions: momtntanées des fibres
des nerfs, ce qui eft regardé avec raifon par les
femmes comme les 2vamcourcurs des convuHions
cpilcptiques
trC~·familicres
aux enfons, qui procc–
dem d'uó p:i.retl mouvcmcnr des efprits animau:c
dCrcglé
da.nsle cerveau ,
&
de leurºcxplofion vio–
lente dans les ncrfs.
TERRINE. f.
f.
Ouvrage de rerrc, qui n'a ni ;mfes
ni piés,
&
9ui efl creux. C'efl: un vafe qui a le bord
rond,
&
ql~i
va roüjours en érrecifi"amdcpuis le haut
r~me
//.
TES
t
ES
I
R.
v. n. Vieux mot. Se r:tire.
TE5SEAÚX. f. m. Terme dc,Matine. Piccesdebois
qu'on met de n·2vers l'une fur !'aune,
&
qui fonc
faillic autour de ch;i;quc
m:ít
au~
deOOus de
la
hunc,
pour la folnenir.
Elles
fervem
mCm~
de hllne aux
n1:its qui en manque
ne ,
&
on les appclle
au{(
emcnr
'Ji
arre1 dt h11nt.
C'efl: auíli une piec{"'
de
bois four–
chécdans laquelle
la
víz d'un prdíoir cfl mouvame
&
cngagéc.
.
TESSQN.
(.
m.
Pctit animal qui fair
fa
re[rnue
Íous
terre dans des bois
&
daos
des
g::irenncs, d'ol1
il
ne
r%;~~cI'f~r~:ed~J~;~;i~~s~;n~e~~1~~:¡~;;; c
1
1~:;;~
5cs rcnards. Il n'a point de fcncimc::nr, ne voir guc–
re clair,
&
vic de fruirs. de vermmc
&.
de charo–
gne. On l'dppcllc ordinairemem
Blrreau.
Plulieurs
éccivemTaiffen.
T~!~:.~~~~~/ie~~eT~~~¡~~:fo~~~ !c:r~~:ed:~;
R
re
i¡