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4o:z..

SE C

le fa:tus ell envcloppé dans le ventre de la mere.

lis lcur om donné ce nom •

3.

caufo que ces mem–

brn

nes, que les Marrones ont

acc.oU

~nmé

d'ap–

f.el

ler

.ArrierefAix

,

fortent les dermercs daos

;~~

~~éu~~e¡.~~t~t~~i~ j!sc~ta~;:Sº"~'~: 'Ícªr~ie~~

envcloppe des gra.ins

J

parce qu'cllc fait

a

1:égard

des plaoces. cé que fom

a

l'égard

des ammaux

les membranes oU le fci:cus eR:

cnvcloppé.

SECOURIR.

v. a.

Aider, aj/ifler, áonner aiJe, pro–

curer affifllfn&e

4

'fHi

en a befoin.

AcAD.

Fn.. On

die

~rr:e,r~;isÍ:n~:

0

1~~~i¡~;áº:'::s;ac~::;~;

,

~~~¿

qu'il rravaille

&

vcur dcmeurcr. Ce fecours lui

cll: donné des dcux calons en le pinCam délicate–

mcnt.

SECRET,

ZTT!.

adj.

C4c/J~,

t¡Hi n'efl

c111nH q11e

.

d'une

,

ou de pm de

perfannu.

Ac~D·

FR. O_n

~p­

pellc en termes de ChaJ(c ,

Chi111

fecret

,

Un hm1er

SE¿u~t~~~~

::.

v;~:/ª;;/!!~!::·P'"

Gtre r111elle,

'fHi doit lrre ttnHeflcrttte.

AcAD. FR.

Il

fe die en

cermes de guerre , de la lumiere d'un canon ,

&

on

~~Pf~

1

c~;i~i~~·;tí:'~:~;~~~~~i: ~u;;~!~[rc~~

Sl:.CRETA!RE.

(.

m.

CelHi dont l'emploi efl d'é'crire

p(Jur fon m4hre

de f4ire áes lettres

,

áts

dtptchts

poHr fon mttitre, P""r celHi d(Jnt il dt'pend.

A

e

A

o.

FR.

Le Roi a quacrc Sccretaires d'Ecac ou de fes

commandemens , qui onc fouvenc la qualicé de

Mi–

niílres. lis lignenc les Lemes

&

les Ordonnances du

Roi ,

&

expedic:m les dépCches pour les affaires

d'Ecat. Chacun d'eux expc:dic cc:lles que le Roi en..

voye aux Parlemcns que le Secreraire d'Etar a dans

fon départemc:nt)

&

c'eíl: lui qui conduit

a

l'au–

diencc du Roi les Dépuu:s de ces Parlemens ou des

Etats des Provinces. Nos premiers Rois ne ,prenanc

aucune .connoifíance des affaires, ne Cignoiem ni ne

faifoienc expedicr aucunes Lemes. Ce foin

r~fiar-

~~~~a~d~~ea:"c~h~~~~&~~ ~~,\l':c~1~~~~o~~ir:

0

~

Secrecaire auquel le fceau écoitconfié. Les Rois de

la feconde race • en ayanc voulu figner les plus im–

pon:mres •

les faifoient encare Cigner

par

les

grands Ofliciersde laCouronne.Ces Lemes écoient

drdfées

&

fignées par le Chaacc:lier qui ajoUcoic le

mot

Scripfit

,

&

en fon abfence elles éroiem écri.

tes

&

Cignécs par des Notaires, qne l'on

commen~a

a

appeller Secretaires en ce ccms-13. • parce que les

Ro1s en prirent quelques-uns auprt:s. de leurs per–

fonnes pour les affalres fecrecces. Ainfi Eginhart

fue

Secrccaire de Charlemagne , dom

il

f~uc

Ci bien

gagner l'efprit , qu·¡¡ patvint

a

l'honneur d'Ccre fon

gendre. Guerin • EvCqua de Senlis, Chancelicr de

France •

&

Premier

Mmifl~e

de Philippe Augufte ,

&

de

l~:mis

VIII.

Ora

le

Scr1p(it

,

que les aU[res

Chancchers avoiem employé

da.ns

l'ex:pedition des

Ler~r~s

,

&

les íigna fimplement aprCs les grands

Offic1ers de la Couronne. Ses füccefICurs, devC:ous

Chefs des Conrei1s du Roí

&

ele la Juflice, aban–

donnerent leSecrccari:u aux Nocaire\& Secrecaires,

s'en refervam Íeulemenc la íuperioricé avec le fceau.

Les Secrerain:s s étanc mis par l:l dans une plus

grande conriderarion,les Rois en employercm quel-

(~e~-:¡"je~~unx fi~=i~~snl:~J;~~~~~~:c~:~erse~~r~~~~

Notaires

:i

cinquame-neuf, fans qu'il íoit fpecifié

d~ns

fon O rdonnance cambien il

y

avoit de Secre–

taucs. Charles VI. par un E.die de l'an r ..

pS.

créale

Collcl?;e des cinquamc-ncuf Glerc.s Notaires: de la

Ch:mcellcric,

&

reduific les Secrecairesdes Finan–

ccs au nombre de cinq. Charles Vil. en établit de

SE C

nouveaux,

&

Charles

VIII.

confirma

les Secrc·

tai1·es des Finances. Florimond Robcrcec ayant

commencé fous fon regne

d.

donner beaucoup d'é.

dat d.

la

cha~ge ~e

Scc1·ecairc , fue coíijours mai..

tre des affaues 1mporcanccs fous Louis

Xll.

&

Fran~ois

l. En6n

Hen.ci

11.

rcduific

i

quatre lé

nombre des Secr

ccaircs d

'Ecat , fous le ütre de

Conflillers

ffr

SecrerairtJ des Commantlt1nens

&

Fmances

>

&

ces quacrc furent Guillaume Boche.

re\, Come Claulfe, Claude de l'Aubépine,

&

)can

du Thier, qui prirenc la qualité de

Se&tttaires tfE–

tAt

,

comme avoic fair Robercet. Leurs íucccffc:ws

ont auffi

le

ritre de

Se,rtta•rts de1 F•ntmctJ,

auCol..

lege des Secrecaircs du Roi, qu.i fignem cauces les

Lemesque l'on expedic dans les_grandes

&

perites

Ch::mccllerics au nom de Sa Ma¡eílé •

&

avc:c

foa

paraphe

faic

en forme

de_

grille qu'ils mc:uenc au

devane du leur. lis prenncnc )a qualicé de Confei:.

lers, Notaires

&

Sccreraires du Roi , Maifon

&

Couronne de France

&

de fc:s Finauces. lis onc

de

grands privilegcs • dom le principal c:íl d'Ccre ano–

bli~

,

eux.

&.

leurs Enfans nés

&

3.

naicre.

11

y

a

quatre

S tcreraires

dH

Cabinet,

qui fervem le Roi

daos fes dépeches parciculieres.

On appelle

Secretaires dH Confiil,

Les Grefficrs

du Confeti d'Etac

&

des Financcs.

II

y

a

auffi qua ..

tre

SecrtlaireJ Ju Parltmtnt

,

créés en eme d'Offi–

ce. lis ont pouvoir de poner la robe rouge

&

de

lignerles ArrOcs.

On

appelle

Secret4irt d'Amb1tffetlt,

Celui qu'on

mee auprCs d'un' Ambaíl'adeur , pour écrire

les dé–

pCches qui regardenc

Ja

négociacion qu'il eíl: ch.u–

gé de craicer. Le nom

de

Secret4ire,

eíl: auffi don·

3.

cc:lui qui fait l'c::xrrait des procCs d'un

Con–

feiller ou d'un

aum:

homme de robe confidera–

ble.

SECTEUR.

f.

m. Tcrme de Geomctrie.

Le Stt·

teHr d'

un e

erele,

eíl: la parrie de l'aire d'un an–

gle comprife entre dellx rayons qui ne

fonc

poinc

une ligne droice ,

&

un are

de la

circonfecence

terminé par ces deux rayons.

Le S1Ele11r

ª""'

Sphere,

eft un íolide compris fous plufieurs rayons

de la Sphc:re , cerminé en poince

d.

fon ccnrre •

&:

ayanc pour bafc la portion de

la

furfuce de

la

Sphere qui eíl: décerminée par rous ces rayons.

Le Seél:eur de Sphere eft en

íolide ce que le

Seél'c::ur de ccrcle eíl: en plan.

SECT!ON.

f. f.

Terme de Geomctrie. Le pointoil

deux llgnes fe coupem s'appelle

point dt SeElio,,,

ou fimplemenc

Stllion.

De mCme la lignc commu·

ne

a

deux plans qui- fe coupent eft leur

comm11ne

Se!li(Jn.

La commune Sell-ion de deux grandscer–

~~~

d'unc Sphere , en ell:

toiijouis

un

Diame-

On

appelle

Stffiows Conit¡11e1,

des lignes cour·

bes , formées íur

la

íurface d'un cone par

eles

plans qui le coupem. Le cone écant formé com–

me

il

a éré die.

(

Voyei. CONE ,

)

Con

tt.t·e,

fon

ca,~

J

&

le rayon de

fa

b4fl

fonc u_n triangle qu'on

appelle

Tri411zle de 1'1t.'re.

Ce m::ingle pouvanc

:~~a~~r~~ér f.~~:~~:~roI~ip~~~~e~~~r

le

u:~ned:

Sedions coniqucs , mais on ne l'y compte poinc,

parce qu'll n'a que des ligncs droites,

&.

on ne

mee dans ce rang que des lignes courbes, for–

mées par un plan qui coupe le cone , ou par rap,

port a fon

c&té •

ou par rapporc

a

fa bafe ne pre–

nant alots qu'un

Cowe droit.

Le plan qui fe cou-

~~tf:rler~¿.~r~!u~~rb:~e p~~aFi:fe~:~~:r~u

3

~~;

~:~:!!;:~:;~:~a

Xn

b~~~n' (~;~~"fuer{~ f~~f:ced:'n'~