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PE R

hommé ccc oifc:iu ainli,dc méme qu'on

appellé une

P1cMargr1.

.1ppc:llc

:mili

PerrotÍHet

d:ms les Amillcs, Un

cen:nn po1ílOn fatr

pcu prCs commc nos moycn–

nes e.upes ,

done

toutc~

les écatllcs

d"s

ÍOnt

d'un vcrd brun ,

cclles qui

ÍOnt

en has 1ufqucs

fous le vcnrre d'un

ven

plus gai. ll

les yeux

forc

t!cincelans,

les pruncllt:S clam:.scommedu cnU.i.I.

Elles fom cnrourécs d'un ccrcle argenté , enfermé

~:"~,~~J1~~trd:?~~c:o~~º17 ~·~r~~¡~~~~ªºle~1~s'~::

a en

place deux

pcticcs

pt~ncs

ou os fon durs,

~~n~

~c:~;~~~~~:ni."~1 ~i~ ~':

!~tcfon~ t_~~~~i1fcª:

c'cft avcc ces dures machoires

qu'1l

bníccomme

cmre dcux mculcs , les huicrcs, les moulcs

aulres

coquillagcs dom il fe nourrit. Les ailerons qu'il a

fur le dos ÍOnt

agre:iblc:mcnr divcrlifiés de blcu,

¡aune

dt: rouge, ainfi que

queue, que quand

les étend. on ne voit poimdc Pcrroquets

beaux

fur les :ubres que ce poilfon l'eft d:ans l'e:iu.

nCs-bon

manger,

il y

a de

gros qu'ils

pe–

fcnt p!usdc vingc livrcs. Le Pece du Teme Jicqu'il

vU des troupes dans les rochers des fomamcs

bouillamcs,

011

il ne d.cmcure qu'un pié ou deux

d'eau, qu:md lamer eO: b"lfe.

d/~ia~e:::: a'!"~~~¿ef~~ ~sa~i~~~/·~~c~~a~~~é~~~

mifaine ,

fur eelles du be:mpré

del

12.fci–

mon. Cclui qu'on mee au-dclfus du gr.:ind mic de

hune s""ppelle

Gra,,d P(rro91tu,

ccluL qu'on mee

fur le humer de mifo.ine.

P (tlf

P(rrot¡Hn.

On ap–

pelle

P(rrº'l"ª d(

fougH(,

Celui qui

mer fur

:~u~~sl'~r~~~:"~e~ ;':ffi"{a:¡;~n~~:;;t:o~j~ ~~~~

On les h11fe

on les amene de dellus le pone du

Vailfeau. On appelle

Ttms

ptrrot¡Het ,

Un beau

terns de \tent mediocre qui porte

roure , c:ir on

ne met pmais

voile de Perroquec de gros tcms ,

caufe que

Ít

le venc

~toit

forcé , celmqu elle prcn-

~~id::l~(~~~}~(;(~~;~:,:~ r:;~,::!:r~~~~d~;~é:

Llcher les

~coutes

voile de Perruquec , en Cor–

re q_u'on

laiffe voltiger au gré du vcnt. Cela fe

prmque lorfqu'on veut donner de

JOUr

quclques

fignes.

I>ER~EA.

f. m. Arbre qui vicnr en Egypce ,

qui

~~~~e~io~~~iria~º~~:b~~! i;.~~o~;~~e~abn~ne~r::i~

des ar:iignécs • appcllécs

fl•>•>n••

,.,.....

:,...1.

;~~nltcj/ff~~l~ ~~~~t~;lrut:~:/i~l~q~~~s~~~h~~;~~·

~toir

notrc PCcher ,

M:mhiole faic voir

fon

er-

~~~~- ~h:~6;:ª~·~g~~;/~"e~uq~en~;~~c,o~:b1:it~~

au Po1rit:c en feuilles , en Reuu

en branches,

ce n'e(\: qu'il demcure toU¡ours ven.

produit du

;:;o

eÍai(o~n~~

•

f~tl'~~~~u~º~~\~u~ l~~~i~c'e~

toU.jours le r.ouveau vient fous le vieux.

cfl: gros

comme une poire , longuc:t comme une amande ,

.coul~ur

vene.

a un noyau comme

prune,

m::ns

momdre

plus. tendrc. Cet :irbre produit de

longu~

groffcs r:lClnes

en grande quanrité,

~on

boas

dur

fcrmc.

G:ili~n

qui a vU cecarbre

Alcxandne , du que fon

fruic

eíl fi venimeux en

Pe~(e

q~'il

fait mourir ceux qui en mangenc. mais

ay~nt

cté tranfplamé en Egyptc, il s'cfl:

íi

forc

::1..douc1 , que l'on en

m;in~c

comme des poircs ou

:;~lc:~~mes,

aufqucllcs 11 cft affés fcmblable en

l'ERS!CAIRE.

Plame,

qui,

(don Diofcoride ,

T~111t

JI.

PEK

2.0I

'"toleauprCs des caux dormames

ou-auprCs de cdlcJ

qui coulcnc

fort

lt:nccment. Sa uge dl nouée

fe.e–

me, ayancquelques concavicés, d·ou foncnt fesfcutl·

les , qui font femblablcs

celles de mente , quoique

plus molles. plus blanchcs

plusgrandes. Elles

le golu fon comme poivre fans Ctrc odornntes. Sa

fcmcnc<: efl: forte ,

crolt au bout de ccrnuns pcms

~~::J~~~!;~~-e ~~sf~~~1f:~~cÍa'g~~i~ec~l:Ju~~edr~~

folvent coutcs rurneurs, dmetés mvetcréc.s

mcur–

criffü.res.

racine en peme

de nul ufage en Me...

~~~~:~:~~:,~:r~c~~~r~·~¡¿~~: ~~~~~~~:n~:;;t1~b~~

cclui du Po1vre.

PERSIL

f. m. Tous les Medccins

ceux qui trai–

tent des limpies tiennenc que notre Perfil des ¡ar_

dms , qui en une herbe potagere

cfl: le vrai Ap1um

des Andens, appell6 par cux

.Apium

far11111m.

Ga–

lien die qu'encre aurres herbes, le Perfil cfl:

plu;

commune.

qu'elle cfl: fon bonne

la boucl1e

l'eltomac. Chryfippus

Dionyfius,

r;ippon de

Pline, prétendoic:nt qu"on n'cn dcvou pomt man–

_ger,

caufequ'on s'cn (ervoic

a.ux

banquets des

fu–

ncrailles

des

morts ,

que d'a1llcurs on nt: peut le

regardc:r fans qu'il nuife

la vU.c. Pline a¡outc que

la cige du Perfil femelle engendre les vers, que ceux

qui cominuentd'cn manger devicnncnt nerilcs. que

une fcmme accouchée en mange , l'cnfam qu'el–

lc nourrira (era fu¡c:t au hauc mal.

que le Perfil

::'~,1

~ :,o~n~

~l~~~r~u::h~~~~:1~e~~e: ~~iec~N~

num de Diofcoride. :ippefié

P(rfil d( mArAu.

croic

::rnprCs des ru1fli:aux ,

a fes feuillcs plus grandes

plus clair

Íttnécs

que le Perfil.

Perfil de mon–

rngnc:

que Diofcoride appelle

Or(ofelm1tm.

tige.

haute d'un bon palme, venant d'une racine mince

déliée. De cene tige fonent plufieurs

branchc~

qui

porcent des bouquets auffi mcnus que ceux de ci–

guc. Sa grame

fcmblablc

celle de cumin • Ion..

gucne, :icre , déhée

odorante.

croít aux mon.

ragnes

aux lieux pierreux.Dioícoride avercit qu"on

s'abufcroit en pcenant pour le Perfil de montagnc

celui qui croíc parmi les rochcrs , principalemcnc

Í~t ~;~~~~~n;(:;~je:;:~!;:r~::~~=!~~b~=·

'Lcees

fl:~i~~

les en

fom

(c:mblablt:S au Perfil commun, ou

celu(

des

marais , moindres toucefo1s.

rige

groíll.: ,

branchue

avecbcaucoup de concavnés. (es Aeurs

~Lªr~~I;;:'

~~~~~1:/c:~t~ ~o~~~e~cc~n~~ ~~~'::~~

reme

racine , mais

femc:ncc emre dans les

compofüions du Miduidate

de la Theriaquc.

P1rjil

fawi11tg(,

que les Crees nommcnc

u<••a>..ir.

a fa 1ige haute d'un palme

un peu veluc.

SeJ: fcuilles foac auffi velucs , femblables

celles

l'ache ,

déchiquctées par le bOLlt commc celles de

fenouil.

la cimc de fa cige eíl un bouquet de

~:11~:b~:n~:c'u~~~~"~C:rfi~fa~~~1~e ~~~;tbl;~r~

dial. Son

¡us

rompe la p1erre, fait fonir la gr.:ivel–

lc ,

purge le foyc ,

race

les rcins

1ouc

phlegme. Sa gra1nc prife en brcuvage aiguife la.

vl1e.

PERS!Q!JE. f.

Sorce de peche qui el\ 1r<s-g10Cfe,

moins longue

plus ronde que n'dl la peche de

Pau. Elle c:fl: rouge

-'<:

pointue,

a ordinaircmt:nc

dcsboffcs.

PERS!Q!JE. adj. Termo d'Architcélure.

appelle

Ordre

Ptrfiqu~,

Une cfpeced'ordrede colomncsque

les ·Grecs om

prariqu~,

lorfqu'au lieudu

foil:

<Ida

ColomneDorique, ils

ont reprefenté des figmcsrde

caprifs,ponr en foUtcmr l'cnmblemenr. Lecommcn..