t
83
·1
va~s
succes de
cehii qui
noüs est au)ourct9hui.
:proposé?
Je
ne
,suis
pas
de CeUX qui SO!lt prets
~
se rendre
l'écho
de
toút
ce
qui
sort
d'un~ bouch~
ministérielle.
Je
ne dis
pas 'que ce
qu1
vient
de
nóus
etre
lú de
h
part du ,1ninis'tte'
:Sóit
au.:.
dessú~
de·
únite
·e·x~·eption ~
mais
le
bes
din
'd'úné
~essoutce
monientanée ·est év1dent, fuáis Pim–
portance d;ass'tlrer
le
érédit
pubHc,_
sur la base
sacrée
de la fidélité
de
la
natíort
ª1
remplír
ses
- engagem'ens;
voiÜ
ée qül me pardit égai'ement
juste et pressant' voiia ce qui 'ne sauroit)
~dahs
· le moment actüel ,
plns
admet~re
de
re~
'tard -. ;;
,, Je
n;ins~steró!..i .
pas '
messleurs'
poü.r
qüe
\ráus
passiez
en
un~ ,;,seute
déÚbéra!ion
~
les
qha;.;
"tre
proposition·s de
M.
I'éveque d'
Al.ihni;
·mai$
les
deux
ptertii'ere~
sont rellement liées ,
telle..:.
,
·ment
cónhexes ,
qn~
leur séparation ,
mém_e
momentanée}
po.utioit avoir sude
crédit
publíic
les cons.équences les
plus
funestes:
-approl~..;
Ver
1'emprunt
s,ans
col}sacrer
la
dette ,
sans
la
mettre
a
l'abri
de
toute
réduc–
tion, de toute atteinte, c'<:!st semer la dé..,;
tiance .
et,
l'effroi
parmi
les
capitali:stes ;
t'est
leur
an:noncer des
l.ntentions
sihistres
1.
c' est;
en
UI>Í
nlO.t :;
proclame!
la
banqm~~
F
2