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ele le prouver. L'influence
des
mi:nistres , lors–
qu'elle n€ résulte pas de
leurs
tah~ns
et
de
.leurs vertus' ti ent
a
des manamvres '
a
des
séductions '
a
d~s
corruptiops secretes; et si
quelque chose peMt en tempérer l'effet, (;'.'est
lorsqu'étant ·
membre~
de
l'assemblée, ils se
trouvent sans cesse
sou~
le$ yeux d'une
oppo-
, ,iúon _
ql:,Ü
n,~a .
nul
in~éret
.a
)~~
ménager
».
__ .,, Qq'on,
me
d.ise pourquoi
-n9t1,S
redoute-–
rio1:is la prése,nce des ministr,es
?
C,raindroit–
on·Ieuq
veng~a1:1ces? .
craindr-oit-on qu'ils
mar,.
q~assent eux-mem~s
leur.s
victimes?
Miilis
on'
~ublieroit
q.u€
I_1QUS
faison_s une const itution
libre ,
et
que si le
desp0t isrp.e
pouvoit sup.;.
porter
~e~
assemblées- rtational es permanentes ,
iJ
les
-r~mp~r~i_t
d'e.spÍOJ?S
' a1!xquels
les hom
7
paes
co1~i:q.getl--::iq1'échapp~!"~ ient
p as
mieux
qu'a
la
prés_,e!l~e~!
p._es
~inistr,e s.
-Ce
s-ont
les loix
~ur
la
Lih~er-té
j pgiv}g uelle.·
ql:.1~
nous affranchi- .
r ont du
~~S:P9}fSt;ne '
ministériel .
Voila le vrai
~
~'un.ique pal~aqiuqi Jd ~
Ja
liberté d'es suffrages
>'·
»
Non,_
~e? s ~e1Jrs_ ,
nbus
ne
céder~ns_
poirit
~
c
:l.escraip.~es :frj.voles
'
a
de
y ains
fantomes;
ncrus ·n'aurons
point
cette timidité
soupc;on~
neus.e
C(}Ui.
se
_précipite
4~~s
j €s ,piéges,
par la
crainte
i:nem~ ,d~
les braver
».
"
Le~ prem17J·,~ agen~
du: l?ouy oir
exécHtif