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J
€n fa!s 2nt rayonne:r
l'espérance , et chez
1&.
peupl e
qu'clle
garantira
des coups que lui
porte l'embaras des finances , et chez
les
créanciers de
l'Etat,
sur
la
propriété desque1s.
~om
appuyés un
si ~
grand nombre de rappqrts
iruportans pour la tramquillité publique>>.
»
J'ai dit , Messie{1rs , que nous marchions.
a
grands,
p<ilS
vers }e retour de
fa
paix et du
l>on ordre , vers le rétablíssement des forces
de l'Ernpire.
J'
en ai 'pour garans tous les
témoi~
·gn.:a'ges qui
nous viennent des provinces. ·Letir
Gqnfianee
dans
l'as.semblée nationale n'est
·point
~ffoiblie
; elles. nous
tendent .
plus
de
justiée . qu'
9n
ne voüdroit nous
le
persuader;
elles
placent
sans cesse
a
coté
de la lentetm
de nos tra"vaux ',_ et rdes fréqueBtes interrup–
tions
qJ:t'ils
eprnuvent ' les '1.ifficultés.
que~
· NOVS
avons
a._
S;urraontet. Les
pr-ovinces
voien~
nÓtr·e
:zele ,
notre dévouernent pour
les
vrais..
,jntérets de la naJ;on , notre
fer.tn·e résolntion;
de
rré paS' aJSapd:onaer ,. ,SaID.S
le
ccrndui:re
a
la
:fin ,
le
· grand
ouvrage.
qu'elle
nous a
confié ,,
jusqn'a
ce
qu'aueun
effort ,, qu'cnícune con–
jurati'on
ne
puisse le
renVetSer
H.,. '
(
;>
Pourqlloi faut ...
il
que de
til:'istes
mal...enten....
dus
entre
l'as,semblée
natio.nale
et'
l@s
~inistres,
~~ent
1
donné \
líeu
a
un
m~nwire
;p.1Jhlic
dan,~