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( 422 )

payées avec

exactitude ; et

que s1

la dette

est

un

mal ' il se peut tres-bien que le mal

étarrt fait '

le remede ne consiste pas.

a

le

détruire le plutot possible

>>.

· ,, Enfin , la caisse nationale nous: donnera

l'avantag·e

d'tfhe--

ntile consultation avec

ceux

d'entre

l~s

créa.nciers de l'Etat, que

l~ur

part

daos la dette rend importans ,. ou qui peuvent

en représenter un grand

no~bn:

>1.

>'

C'est de leur propre affaire dont

la

caisse

nationale s'occupera. Ils ne peuvent pas de•

mander l'impossible , et il est telle disposi–

tion

dans.

l~queHe

lenr c.o-ncours sera .évidem–

ment une spécnlation

a

leur

avantage.

On ne·

peut raisonnablement attendre d'eux ce con–

cours, qu'en leur donnant une sorte de cau–

tion , qne les op érati6ns de

lci

caisse seront

consacrées entierement

a

~eur

service et

a

leur

slireté

H.

>>

Je Si1ppose, pour mieux me·fai're entendre-;"'

qu'une caisse de

numéraire

effectif

füt

néces–

saire pour

SQtttenir

une

ci~ulation

de billets

,solidement hypothéqués ' et destinés

a

rem–

bourser toutes ces parties arriérées de- la dette

/

publique ' et

a

mettre fin

a

des expéd.iens

désastreux ; je suppose

que

la vaisselle

füt

le meilleur moyen de produite ce numéraire ,