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,
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( ·433 ' )
par sa
présence, paralyser
toutes
les
i,dées
de
libertJ
;
que la
présen.cedu lord chancelier ,
. clans
le parlement d'
Angleterre, étoít dar:ge–
reuse
pour
la
liberté;
et qu'enfin,
il importoi t
a
la
liherté
qu'au~un
ministre n'
eut
voix. e
011-
sultative
clans
l'assemblée 11ationale.
M. La.njuinais.
Oh
!
M~
Lan
j
uinais. fu
Neni–
,hle ;
un
génie:_ éloquent,
dit-il ,
vous
entraíne
·ei
·
'YOUS
subjugue, que
ne
far§it--il pas
s'íl devenoi.
.t
·
.
"!inistre?
(1)
et
b~aucoup
d.e gens d'applat1dir
! '
·car , ·'soit dit en - pas5ant ,
-Oeaucoup
de gens
ai~oient ~
Mirabeau qttand il
l~lairoit;
ils ,ne
lui pardoimoient pas
d'eclipser,
et malheureu–
se~eht
il '
éfoit né pour
éclipsef..
Et puis,
M.
Lanjliina~s- ,
tout
rayonnant
A~
sa
gloire
~
dit qúe
~es
cahiers
l~ü
défendo'ient · cl'opin·er
1
d~vant
les ministres; ' et
011bliant
que ses com–
metíans étoient les
Frarn;ois., et
non
p~s
quelques
avocats
-de
Rennes,
il proposa
le
décret sui'vant..
•'
L~s repri~entans
_de la naúotz né p'ourrQnt pen–
,dant
Za
Législature,. doll:t
ils
~seront
!(Zemhres, ni
pend¡nt les
trois années
su.ivant_es
,
obteinir
du
1
V)
.J
.
('t) Íl est:utile de
fáhe
o·bserver que toutes les fois
-que·
1VHrabeau
avoit
tr-op
raisan
, on
lui
reprochoit
·id'avoir
trop de
talent
•
ce qui
c~rtaipement
11:.'est pas
-une
1
ráison.
Tome!/.
Ee
, \
\,
-.