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c'étoit
pour vous , pour
l'Etat
que j'ai
levé
cet honorable .Úibut sur les
vertus
de
vos
\
'
¡Jeres
H.
)~
Oh
!
qui se
refuseroit
ª.
de si ,tot-1ehans
"f!Xemples l Quel moment
pour
déployer nos
ressources ,
et pottr
invoquer les
secours
de
toutes 1es. parties
de
l'empire. Prévenez
l'op–
probre qu'imprimeroit
a
la
liberté nais_sante
la .
N"iolation
des en_gagemens ies
pl_us
sacrés. · .Pré–
venez
c~s secou~ses
. .terribks qüi, .e,n boule–
versant
les
établissemens
les
plus solides ,
~branleroient
au
loin
toutes les fo-rtunes , et
.·ne présenterof
ent
1
biento~jdans
la
Fran::e
entiere~
..
que
les
triste~
débr.jsd'un honteux naufr..!gc.
Combien
il~
S,<J.busent'
C€UX
qúi
'a
une
certaine
distance
de la ' capita1e,
n'envisagent
la foi
publique,
1cii
dans .
ses
im~enses _
.. rapports
ave~
, la
prospérité
na:tionale '
ni
comme
la premiere.·
c¿ndition · du contrat
'qui
nous líe
!~
Ceux
qui
osent
prononcer l'infilme mot de banqueroute ,.,
.veulent~ils
done une
societé.
d'an.imaux féroces,.,
et non
d'hommes justes et libres.? QueL
est
-le
f
ranc;ois
q1ü
oseroit
~nvisager
un de ses .
con-..
citoyens
malheureux ,. quand il p
ourroit
s~
'1.ire
a
soi...
meme.:
1'ai
co~tribué
pour n¡,a
part
·4
empoisonner l'existe'n·ce de
plusieu~s
millions·
de.
m~$
S_ e;mbla.büs._
S.erions-nous cctte
n<:ttion
a._.
Q_ 3~
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