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~2.41
J
d'extraordinaire I ...... Le
pretnier
ministre
des finances nous
.a
proposé, comme moyen
principal pour cet effort ,. qui peut décider
du
salut
de
la
monarchie, tlrte contriimtion rela–
tive au revenu de chaque citoyen
>>.
>)
Pressés entre
la
nécessité de pourvoir sans
<léla1
aux besoins publics ,
et
l'impossibilité
d•
rofondit
~n
pett
d'inst~ns
le plan 'qui nous
étoit offert, n<;ms avons craint de
~ous
livrer
a
des
d~scussions
longties et dou'teuses ; et ne
voyant dans les propositions du ministre, ríen
de
contraire
a
nos devoirs ' nous avons suivi
le sentiinent de la cohfiartce , en préjugeant
qu'il seroit le vbtre.
' L'attache~ent
universel'
de
la
nation ,pour l'auteur de ce plan , notts
lª
paru
le gage
de sa téussite_
~
et i:ous avons
embrassé sa longue expérience 'comme un guide
plus súr que -de nouveUes
spéc~1lations
>>.
»
L'évaluation ·des revenus est laissée
a
lfl
conscience
des
citoyens; ainsi
l'
effet de- ce'tte
mesure dépend de leur patriotisme.
11
nous
' est
done permis , il nous est otdonné
de
ntl
pas douter de ' son
suc_c~s
;>.
·
'>
Quand
la
nation s'élance
_(ht
néant de la _
servi'tude.. vers la création de
fa
libetté ; quand.
la
politiqu~
va concourir ·avec la nature
--~JJ.
-
Tome
II.
Q
I