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[ :qo]
'a
notre honte et aux yeux de·
f
univers,
nous n¿
.
pourrion~
attribuer nos maux qu'a nous-me–
mes. Avec un sol si fertile, avec une i.ndustrie
si féconde, avec un commerce tel .que
le
notrn,
. et tant de moyens de prospérité , qu'·est-ce .
done
que l'embaras
de
nos
finances? Tous nos
besoins .du moment ,
s01:it
,a
peine
les
fonds
d'une campagne de guerre: notre propre
li–
berté
ne_
vaut-elle
pas ces
luttes insensées
·oii
·}es victoires
merries
IlOUS
ont
été
funest€S
?
»
Ce
moment
une
fois passé ,, loin
de
su:!j....:
d~arg(r
les
peuples ,
il'
sera
fac,~le
d'améliorer
leur sort. De_s réductions qui n'atteignent pas
encore
le hrx-e
et
l'
opulence,
.des
réformes
qui
ne
feront
point
d'infoFtunés , des conversiGns
faciles d'impóts,
u~e
égale
répartition,
ét~bli
ront · avec
l'équilibre
des revenus e.t des.
dé- .-
penses" un
ord~e
permanent" qui toujours sur–
veill~
, s·era inaltérable , et cett'e ' consolante·
:perspective ést
ass~se
sur eles. süpputátions
exactes , su:r des. objets réels et
c_onnus.
ki
les. esp é'ranées. sont susceptibles d'etre dé;–
montrées
:>
fimaginatibn _est subordonnée au
calcul
"~
.
.
»
Mais les hesoimí actuels
!
ma1s
I!ii force' ,
publiqué .
paraly:sée
!
mais ·
pour · cette année
et pour
la
suivante·, .cent
soixante
míHions
d'extraordinaire
!........
~
.h
,
I
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