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[
l.
;o ]
)) ,L'acceptation qui
vient d'eti;e
do~née
est - elle ,,ou n'est - elle.
1
pas suffisante.
11
y
a sur cela plusieurs observations
a
faire
::.
fa
premiere, c'est qu'il importe souveraine–
m.ent au monarqtie· , ·pour le succes
de
la
tranquillité publique ' que nos arretés
so~ent
acceptés
1
et que
sur-tout ils
paroissent l"avoir
été
volOntairerrient
H.
>>
Il
me.
semble
qu'on pourroit faire au roí
une
adresse , dans
laquelle
on
lui parleroit
~vec
cet,te franchise et cette vérité , qu'un
fou
de.
Philippe mettoit
da11s
ces paroles tri–
vial~s
:
Qi(e
fe~·oi·s
-
.!_U.
,
Philippe, si tcut.
te
monde disoit
non ,
quand
tu
dis
oui ))
?
>>
Je ne pense
pa~
qu'il
faille
prier le. roi
de
retirer l'accession
qu'il vi en
t
de
donner ;
rma!s
seul_ ~ment
-de
l'intnpret er ,
de
donner
enfin eles
éclairds~emens
qui puisse.l,lt satis-.
faire la
nat~on
»,
-»
L'assemblée a
été
autorisée
a
-fixer
le
pouvoir constituant
d~ns
ses . rapports entre
·ia
nation _et son
délégue.
Si le
clélégué
·~
le
roi ,,·
persistoit dans ses rd'us, bientot le germe
ch~
patriotisrne sero?.t
étol..dfé ,
et l'anárcl;ie.
~om.me_nce au moment
011
les
penples éonnoissent
1
r
'
.
'
"" .
assez eurs iorces pour
5
a.pp,ercevolr
qu on
ve\ti..
les compr-:mer
>~.
/