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a.dministrateurs commenceront enfin
a
s'ins~
truire de leurs devoirs
».
H
Ils étüdieron.t
la science des banques
pu_,
_bliques,
ils
se
forme~·ont
au
genre
de pru–
delice qui Ieur
convienr..
Sagement partagés
entre
le
desir de rendre leur
établissement
avantageux aux actionnaires,
et
fobligation
de respecter la
foi
publique , ils serÓn.t forcés
de
surveiller et de
con~rebalancer
ces
o péra-
. tions
clandestines, qui,
tout-a-coup,
livren~
la
guerre
au
numéraire .effectif, et
emp~chent
son utile circulation dans
tout
le royaume ..
C'est ainsi que la banque de Londres se main–
tient
honorableme~t
contre
la
variété
indéfini~
des .
événemens, dont
les
uns favorisent ' ses
opéraúons, les
autres les
contraritmt
>t.
>>.
La
caisse
d'
escómpte
se
g~rdera
sur-toHt . ·
- de la folle ambition ele vouloir étendre son
,empire
sur
t_out le royaume,,
et
de prétenclre
a
·devenir
banque nationale
(
I ).
Ce titre obli–
geroit-il la nation
a
répondre
des engagemens
d'une telle .
banque
?
Cette prétention seroit ·
(1)
Voyez
l'article
important et
1umimmx
d'un e
banque nationale
da.nsles opinions
.d'un
·
créancier
de
l'état,
pag.
)4
et
su ~van¡es.
Note de
.lr.lirabeau.