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irrép roc hab le a jugé l'arrer de
surséance
néces–
saire;
car cet arret
est entier ement contrai re
a
ses
p rincipes; et au mil ieu du t rouble. don't
il
étoit
environné ,
il
a
pu cra indre
que
l'on
jugeat
p ~u
sainement
du refus
~u'il
auroit opposé
a
la
demande de cette
sur–
séance ;
il a. pu ; distrait par
des
importu–
nités ; ne
pas_
voir
toutes les conséquences
d'une troisierne prorogation "·
1
· ,, Lui a-t-on laissé
~e
tems .de
réfléchir
que.
1a
caiss~
d'escomp te n'offre
plus rien qui
puisse
rassur~r
le public: sur
tir{e
fabrication
illimitée
de ·
billets, des
qu'elle
est
dispensée
d~.
les payer
a
présentation
?
~l~~
a-t-on inon–
t r é
que
cette fabrication
illi~itée
·peut .favo–
riser la
'plus détestable
des manceuvres?
Qu'en
étendant ou resserrant
a'
leut .-gr é
r
es
1
cwmpte
tles lettres-de-change , les admin isttateurs
~e
la caisse
p euvent
favoriser leurs
p~opres
spé-"'
- culations,
faire
hausser ou ' baiss'er ·les " effets
publics ,
se
Ion
qu'ils
v.:eulent
en. aeheter.
ou en
vendre? Que la ·
concurrence
· se ' chan:ge en
monopole
ou
en tyrannie
dan~
.les mains ·· tfe
ceux
qui
administrent la caisse,., par ' les se–
cours qu'ils
peuvent
en
tirer sous une multi- ·
tude de formes? .. .. On nous <lit, et le
mini s~
.tre
des
finances est
porté
a
le croire ' que