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.

~

t

147'

les

pbtter.

a

-1a

sahction' seroit

' superflu;

pu!s.,;

qu'ils

y

ont été portés. Cherchons done le

parti qu;Íl

IlOUS

reste

a

prendre

H.

,, Ici

je me vois contraint de faire

~mé

re'""

. marque que la hature des circonstances pu–

blique~

rend tres-<lélicate ; mais que la rapidité

ele notre marche , et l'hésitatioh

dli

gouver–

ment rend'ent encore plus

néces~aire .

Depuis

que les gmndes questions de Ia, constitution

. s'agit ent, eous avons montré

a

l'e.nvie la crainte

4'ajot~t er

a

la fermentation des esprits 'ou seu–

lemént de la nour!ir par l;énonciatión de

q.u~l

...

qt.1es príncipes évidens

de

leur nature ; mais.

nouveaux pout des Frans:ois ·dans leur a.ppli–

cation ; et · que par cela méme,

qu;

en matiere

d'e· constitution, on peut .les regarder comme

<l~s

axiomes ' nous avons cru pouvoir nous

clispenser

·de

cónsacrer

-~',

.

,, Ces cón.sidérations étoient dignes de

vott~

sagesse et de votr@ patriotisme. Mais si; au lieu ·

ele nous savoir gré de notre respect religieux,

on en condut contre les .príncipes que .

nmis

avons voulu taire, et non dissimuler,

a-t-<m

bien calculé combien on

prov~quoit

notre

honneur ' et le sentiment de nos ·devoirs

a

mm

pre le silence

»?

,, Nous avons pensé, pour la

plupart,

qn~

K

2.