Séanee du
18:
1 .
)
Jléponse du roi;
a
la
d~rtlé!I1de
qú f
lui avqit
été
faite
ctle promulguer .
les
dé~ret .
du
4
aout..
- Le roi avoit vu dans ces
-décrets,
des
.b~ ses
de loix et non des
foi~
auxqueHes ·iI
rie-maa--
.
t
.
'
quoit que sa .sancti0n
;_il
av_oit
cr~t
'qü'on
lui
demai1doit , non sa·
volonté,
ma is :
'-fes.
ati~·
,
et
c'étoit de.s
avis
qu'il '7hvoya .
Átf
·
lied d'un
simple monosytlabe qu'
O?J
·
efemandoit
;··
il
,J.._
pondit
par un mémoire.
- · · · · ·
· .'
La lect ure -de á ºmémo1re(étoit
a
·pe1he
finie;~
que
M.
Goupil demandat_qu'_oün ommat soixante
éom_missaires
poúd'exarniner et en faire.
ens"uite -
le rapport.
. ·
r.
·
Mais
M.
Chapellier s'pppásant.
a
cet avis :; .
observa qu'on
~voit
d'emandé au roi une -pro- ·
mulgation et
non
un
iném?Íre;
en-col-·fséqueñce,'
il
fit
la motion expr
· ss~,
qu'on décidat tout
de suite' quels devroient
efre
les ' termes et –
la
forme de
la sanction, et qu'on ne desemparat ·
ºpoint ' que la promulgation .des
aécn~ts
du 4 .
ne
fút
obt enue.
Cette 1notion fut ·combattue , particu1iere-.
ment ' par M.
(Mirabeau
le
jeun~,
devenu si cé-
~
lebre par la distance immen·se qui
I'a
séparé
de son
fr~r e,
et pa.r ses mille et
1me
folies.
~ms~
K
I