TÉMotCNAGE :ors
HoM:MU.
devenir lui-meme l'auteur
&
l'approbateur du M
~nfonr.re&
de l'Erreur
z
ce qui
répugne
évidemme;nt
a
fa
na_turi &a
fon effence.
(po)..
Dans cette permanente oppofition d'id~es
&
de femi ..
rnens , que met nécdfairement dans l'Efpece humaine , la
cliverfüé des dimats, des gouvernemens, des religions, des
tempéramens:, des caraB:etes, des paffions : on conc;0it qu~
ce qu'il
y
a d'invariable dans elle,
en fait d'idées
&
de
fen~
fations, doit néceífairemen"t é·maner de l'Auteur meme de
la
N
ature , dom les reuvres
&
les dons ne fauroient aucu–
nement ette defünés
a
ind1üre p~rfévé.raminent
c;n
erreur
1~
.~émhalité des hommes.
CoNCLUSION.
Nous venons de montrer
&
d'érablir, dans
les quatre SeB:ioms de cet intéreffant Traité, les divers fon–
demens de la
Certitude humaine:
fondemens univerfels; fur
eux portent toutes les Sciences divines
&
humaines , toures
nos connoi!fances quelconques: fond~mens folides
&
iné...,
branl¡¡J;,les ; on ne peut les attaquer ou les fufpeéter , qn'en
0bjurant toutes les lumieres
qe la
faine R,aifon
~
tou~ le\
princitJeS du Sens ~ommun
i
X
ij