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Quant aux deux poemes supplémentaires: «Pucuy-Pucuy» est

de bonne époque quoique sans doute un peu plus récent, tandis

que la 'mélopée consacrée a Atawalpa constitue un épilogue tout

naturel.

Enfin j'introduisis trois poemes inédits, beau cadeau de M.

Farfán (dont un appartient encore au Répertoire de don Cosme).

Ainsi arrivai-je a douze.

Ces textes font, je crois, partie des quarante (dont quinze

restent a trouver) qui peuvent constituer au maximum l'ensem–

ble de la littérature incalque qu 'il faudra bien réunir un jour en

un seul recueil que l'on pourra appeler: «Le dernier trésor des

Incas»....

J

e me mis ensuite a la traduction. Et quelle ne fut pas ma

surprise de voir la langue de Ronsard, de Racine et de Guillau–

me Apollinaire s'adapter sans effort

a

cette poésie que

l'

on eut

pu croire sauvage. Le charme primesautier des

odel~ttes

de la

Renaissance, la noblesse du Grand Siede, les rythmes plus libres

de la poésie moderne (comme celle des Incas, sans rimes; ni

méhique précise) apportaient tour a tour leur note propre a I'har–

monie générale, et par d'aimables réminiscences aidaient 'nature–

llement le traducteur, soueieux cependant de rester fidele a

son texte.

Est-ce la, illusion? Je ne le crolS paso Si notre langue est

réellement universelle, en son Age d'Or le Pérou des Incas avait

de son coté atteint a une grandeur qui rendait sa littérature digne

des éadenees variées de notre langue nationale.

C 'est done a la plus grande gloire du Pérou et de la Fran-

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