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-umBRA CHES .
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Le foie offre, comme nous l'avons déja dit précé–
demment , une disposition fort singuliere dans ces Mol–
lusques. Cet organe ne se trouve plus, en effe_t, dans
la ca ité viscérale; mais' lor.squ'on a mis
a
découvert
la poche stomacale,
l'
on en voit partir, de chaque
cóté , des canaux dont le nombre et la disposition va–
ríen t un peu suivan t les especes, et qui pénetrent dan
l'
épaisseur de la paroi supérieure du corps ·ou ils se
ramifient en suivant, dans leur distribution, celle des
papilles branchiales ; chacune de ces papilles re9oit un
prolongement de ces canaux qui en parcourt le centre
et qui est recou ert, dans la plus grande partie de son
étendue, d ' une couche plus ou moins épaisse de gra–
nulations jaunatres ou brunatres (pl.
2L1.
A, fig. 11, 12,
5,
1) .
La disposition de ces granulations varíe, du
reste, d 'une maniere assez notable daos les diverses
esp 'ces du genre; elles forment tantót une couche
uniforme ou lobulée autour du canal central; d 'autres
fois ce canal donne nai sanee , dans toute on 'ten–
due,
a
de petits crecum
simples ou ramifiés que re–
couvrent aussi les granulations. La tructure de cette
partie centrale des appendices branchiaux, les con –
n xions des canaux qui la parcourent avec la po he
tomacale, enfin
l'
absence complete du foie dan
la
ca ité vise ' rale ou se trouve ordinairement logé cet
organe, ont conduit
a
considérer ce s steme de ca–
naux et les granulations qui recouvr ent leurs der–
niere
ramifications , comme repré entant l'appareil
-h 'patique de ces
follu que , d ' termination qui
t
auj urd'hui gén ' ralement admis . Ainsi le fo ie n'oífr