N DIBRA ' CHES.
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étenclue, par s p tit append i e mous auxquels on
a donn é 1 nom de
papilles brancltiales ,
d
cirrhes
úranchiaux,
te., et qui varient beancoup , daos leur
fo rme t leur disposition, sui vant les especes.
ou le rapport ele leur forme, ces appendices sont
tan t6 t all ongés et coniques, tantót renflés et fu si–
fo rmes, cl' au lr
foi
tres-gr' le et comme filiformes;
dans
l'Éolide de Cuvier ,
ils sont aplatis et un peu
i
mbriqnés, comme on
l'
a dit :
a
la maniere de petites
écailles (1).
·
Sous le rappor t de leur dis position) il sont rangé
tantót par séries transversal es ou obliques ( pl.
211.
A,
fig·.
l~ )'
tantót de mani \re
a
fo rmer des festons' de
touffes' etc. , de chaque coté de la ligne médiane .
es appendic s se distinguent encore par le cou–
leurs tres- ives dont ils sont ornés dans la plupart des
P,
e.
Qu lle qu e oit l ur di po ition , il ne r ouvr n t
jamais toute la
fa
su¡ érieure d !'animal ; ils ont
touj ours séparé , sur la ligne médiane , par un inter–
valle plus ou moins considérable ou se voient , en
avant , les tentacules prop rement dits , et, er le mi–
lieu du corps, une lég ' re saillie formée par la po h
du creur dont les battement sont
tr '
s-apparen t , clan
ce point, pendant la vie ( pl.
z.q.
A, fi g. 1 ,
r.).
(1 ) C'e t
a
tort que M. d'Orbign a prétendu que les papilles
branchiales de Éolides ' taient wujoms cylindrique ou conique ,
et jamais
aplaties
ou
en lames
(voy. dan
14mérir¡ne méridionale,
-t. ,
p. 190) ; cett derniere forme exi
t
dan l'espe e que nous
citons ici.