HETÉROPODES .
311 .
üe du teslicule, une sorte d ' épididyme, comme chez
les Carinaireides (pi. 23, fig. 1, et pl. 23
bis,
.x
};
apres
a oir repris son premier calibre, il nous a paru aboutir
.a
un sillon longeant le coté droit du corps ' comme
ch ez les Carinaires; nous avons vu, du moins , cette
derniere disposition d ' une maniere bien distincte dans
l'
A tlante de Kéraudren
qui, par ses dimensions assez
grandes, se prete mieux
a
l'
étude de ces_Moll usques ;
dans cette espece, le canal déférent, apres avoir formé
un renflement ,. comme nous l'avons dit, aboutit au
fond de Ja cavité branchiale, du coté droit, et se con–
tinue ensuite avec un sillon tout
a
fait
semblable
a
celui que nous décrirons par la suite dans
certain~
Gastéropodes pectinibranches, daos les Littorines.
Daos tous les Hétéropodes dont nous venons de
parler, le canal défér eot vient se terminer
a
un appa–
reil copulateur qui faiL saillie au
ooté
droit de !'ani–
mal , vers le milieu du corps, en dessus de la nageoire.
Cet appareil est constitué par deux appendices volu–
mineux ' non r étractiles, qui sont r éunis
a
leur inser–
tion et libres dans le reste de leur étendue ; l'un de
ces appendices, de forme cylindroide ou conique, est
per cé d 'un orífice
a
son sommet et semble parcourn
par un canal
a
son centre ( pl. 16, fig, 10, "; pl. 17,
fi g. 6et12,
v;
pl. 22., fi g. 1, "; pl.
23 bis ,
"' ) (1) ;
l'autre, d 'une forme assez variable, est comme fendu
(1 ) Dans quelques especes du geme Atlante , comme dans
)'A–
tlante de P éron,
dont nous citons ici Ja fi gure, cet appendice pr<" –
sente un évasement en forme de cupule
a
son extrémi té.