HÉTÉROPODES.
la forme du corps, qui se trouve aussi ramenée, dans
le
Atlantes,
a
des proportions ne présentant plus les
difC'rences qui distinguent, sous ce rapport, les autres
.Hétéropodes. Enfin, le développement graduel de la
ntou e qui occupe le bord postérieur de la nageoire
ntral dan
la plupart de ces Mollusques, et qui,
chez certaines especes, peut ser ir
a
une sorte de rep–
tation , comme nous le verrons par la suite, décele
encore d'une maniere évidente l 'analogie de cet or–
gan
locomoteur avec le pied des Molhisques gastéro–
podes. Nous re iendrons, du reste, sur ce
suj~t ,
Jor que nous nous occuperons des rapports des Hété–
ropodes avec les autres Mollusques céphalés ou , en
d autres termes, de leur classification.
Le manteau est remarquable, chez les Hétéropodes,
par a nature gélatineuse et par sa transparence; il
n'e taus i que fai blement coloré dans la plupart de
e Mollusqu s. Sa snrface est li se ou recou erte d 'as–
pérités, comm on l
oit hez les Carinaires et dans
quelques especes du genre Firole .
a dispo ition varie dans les différents genres.
Dan
les Firolo"ides et les Firoles,
il
forme en avan l
et en d ssous du nucléus, un repli plus ou moins mar–
qué dans lequel c tte partie parait comme enchassée;
il se·réfléchit ensuile pour recouvrir la parti e posté–
rieure et upérieure de ce nuc1éus, mais en s'amincis-
·sant beaucoup et de man iere
a
n plus former, dans
e point, qu 'une membran
tres-min e (pl. 16, fig. 3,
1,
,
1 ,
,
9
t
1O) .