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MOLLUSQUES.
Les notions plus exac tes que nous possédons main–
tenant sur l' organisa tion des Ptéropodes et les faits
nouvellemen t découverts, bien loin d ' infirmer l'opi–
nion de M. de Blainville sur ces l\follusques, peuvent
permettre au con traire d 'en donner une démonstra–
tion compl ete . Pour cela'
DOUS
avon
a
' tablir les
analogies d ' abord avec les Ptéropode te tac' , ensuite
avec les Ptéropodes nus ou d époLir us de oquille.
Les premiers, comme nous l'a ons d
'ja
u et comme
n ous le p rou erons du reste n traitant des différents
genres' appartiennent tous
a
un meme
l
pe d 'orga–
nisation et ne se distinguent guere q ue par
el
s modi–
fications ex téri eures qui sont en partie traduite par
la coquille; ces modifications se li ent m ·me tellemen t
entre elles et la transitioo des une aux autre e
t
i
évid nte, qu'il e
t
impo sible de ne pa
re onuaitrc
que les divers genre qui les pr' enten t,
t-a-dire
les Hyale , les Cléodores, les Cu iéries, le Limacines,
les Spirial s form nt une série parfaitement naturelle.
Si , au lieu de prenclre le Ptéropode qui ommen–
cent ce tte série, c' st-a-dire le H ale qui e pr "te–
raient beaucoup moins bien
a
la om1 arai
011 '
nou
prenon ceux qui e trouvent a la fin ' c' e t-a-dire les
Spiriales, dont le corp et Ja coquille enroul é
en
spirale
e rappro h nt bien plu , par leur forme, de
celle que l'on oh er e daos la plupart de
podes, nous trou ons non- eul ern ent dan l' organisa–
tion intérieure , mais encore dan
la dispo ition ex–
térieure de partie
une anal o ie pre que complete ;
la situation de tentacule
la di position du manteau,