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MOLL SQ ES .

uue di positi n Lout

a

fait diffi' renle . Les Nucléobran–

ches, qui sont dio·iques et ont un s steme nerveux et

des organelS des s ns tres-développé , doivent etre

mi au comm ncement de la cla se d s

astéropo"des,

a

coté d s Siphonobranches a ec le quel il présen–

tent , comme nous le verron plu

tard , des res ern–

blances nombreuses <l ' organisation, tandis que

ou

Jes m ' mes rapports, les

Pléropod~s

sont bien infé–

rieurs

a

ce Mollusq ues.

M. de Blainville a rangé les Ptéropodes parmi les

Gastéropodes mono!ques, aupres d s

pl

iens el

eles Aceres, avec lesquels ils offrent n effet des affi–

nités nombreu es , soit elans le organe de la locomo–

tion qui , chez ces derniers Mollu que , peu ent s r–

vir aus

i.

a

la nata tion, soit dans le conformation de

organ s digestifs, soit enfin dan l'appareil de la géné–

ration dont la di po ition est la m ' me, omme nous

l'avons d

'ja

dit, que chez les Ptéropodes. Leur place

aupres eles Aplysies

t surtout aupres de Bulles , de

Gastéropteres, etc. , est done au si celle qui nous pa –

rait la plus naturelle.

Le groupe des Pléropodes nous emble comprendre

quatre famill es bien distinctes et tres-naturelles.

Dans la premier , se placent les genres Hyale ,

Cléodore, Cu iérie, Spiriale et Limaciu qui pr' en–

tent une si grande analogie dans leur organisation el

e lient t llement les uns aux autres , qu'on pourrait

pre que les comprendr dan un

ul

t

m ' m genre;

cette famille, qu 'on pourrait appeler la famille de