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DE LA BONITE .
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de l'Équateur leur donna asile et leur permit de se fixer
dans la république; mais la corvette fut remise a la di s–
posi tion du consul du Péron a Guayaquil, qui altendait
pour l'expédier les ordres de son gou ernement.
M. Vaillant feté par les ·onsuls d'Angleterre et des États- nis.
ous avons déja vu que M. Cooper, le consuld'Angl -
terre, avait sa résidence habituelle
a
Puna. M. Rinké
fit
en son uom les honneurs de Guayaquil a nos voyageurs.
Des le premier jour, un diner d 'apparat donné en l'hon–
neur de M. de Mendeville les réunit chez lui aux diverses
notabilités du pays. La soirée se passa chez M. Luzaraga
ou s'était <lonné rendez-vous une brillante et nombreuse
compagnie. M. Vaillant et ses compagnons de voyage
furent tres-bien recus. Le lendemain ce fut le tour de
'
M. Swtzer, consul des États-Unis, qui, en offranl un diner
a
M. Vaillant, voulait, disait-il, se dédommager de n 'a–
voir pu lui donner un logement chez lui. Le comman–
dant retrouva la les personnes qu 'il avait ues la veille, et
comme c'était le dernier jour qu'il devait passel'
~l
Guaya–
quil' il profita de l' occasion pour les inviter
a
venir dé–
jeuner a bord de
la Bonite,
qu'ils avaient le désir de
i-
iter. 11
fut
convenu que le lendemain MM. W . Right ,
Stag, Cooper, Dast et ltmburu , descendraient
a
Puua
sur une goelette éq ualorienne Landis qu e M. Macdonal d
, viendrait aussi a ec
le Basilisk.