DE L A DO
ITE.
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Résumant les conséquences que vient de fournir
la discussion des équations, nous trouv-erons :
Que les états composés avec la marche moyenne
uniforme occupent une position moyenne entre ceux
composés avec la marche de d épart et ceux composés
avec la marche d'arriv ée ;
Que les états composés avec la marche progressive
sont compris entre ceux composés avec Ja marche de
d épart el ceux résu ltant de la marche moyenn e uni–
forme, jusqu'a l'avant-dernier jour;
Que, l'avant-derni er jour, l'état
c~mposé
avec la
march e progressive est égal a l'é tat compasé, en sup–
posant la marche moyenne uniforme;
Que, pour le dernier j om, il es t plus grand que ce–
lui-ci d' un e quantité constante éga le
a
la moit ié du
changemen t de marche apres
n
j ours;
Enfin, qu e les différences entre les états correspon–
dants, composés da ns
les deux h ypotheses, vont
croissan t depuis le premi er jour, ou la différen ce est
null e, j11sque ' 'ers le milieu de la s uit e, oit e lles sont
maximum; et que <le la elles décro isseut jusq u'a l'a–
vant-de r11i er jour; en suivant la meme loi que da ns
let11· accroissement.
Ai1isi, la différence des éta ts es t en rnison inversc
<le cell e des marches, que
11 0 11 5
avons vue éga le
a
zéro au milieu de la suite, e t maximum aux ex tré–
mités.
Ces co nséqu ences se confirment en discutaut l'ex–
pression générale de la différence des
~ tal s
n'J..~
-
(n- 1-
n') =
D .
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