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VOYAGE
ell e est null e , jusqu'aux deux termes extl'ern es.
La ,
11
.
.
'
1 '
z
A'
.
z
l
e e es t max1mum , et tOUJOUrs ega e a - . ms1, - est .a
2
?.
fimite de la différence des march es calculées dans les
deux h ypotheses.
Pour faire mi eux l'esso rtir la loi suivant laquelle D
augmente depuis le milieu de la suite jusqu'aux deux
termes extremes, calculons dans une suiLe quelcon–
qu e, de
10
j ours, par exemple, Ja valeur de D pou1·
chaque jour. ll suffit de faire
n=
10
e t
ri
successi e–
ment égal
a
o,
1 ' 2,
3 . . . . .
10,
dans l'équatio n
D = .x
en-:
2
n') .
z
ous aul'o ns pou1· le jou1· de <l épart D
=
+
5x
=
+ -
2
A
pres le prcmier jom-. .. . .
D
=
+
4x
'le . ....... . . .
D
=
+ .3x
3e. .. . .. . . . . . D =+
2 X
4• ... . .. . .. .. D=+
X
5e _ . ... . ... .. D
=
o
6e... . ... , .. . D
= -
X
7e .
.
. ....... . D
= -
2 X
8" . .... .. .... D=-3x
ge . .... ... .. . D = -
4x
z
IOc .... . .. • ....
D
=-5x=--
2
La loi qui se pl'Oduit dans cette suit e d 'ér¡uatio ns
es t général e; elJ e résl)me les di verse
conséqu ences
que nous avo ns d éduites e n di scutant
la
valeur de D.
Du reste, on pe ut par un procédé géomé trique rendre
ces conséquences encore plus sensibles.
Dan
l' h poth e e de la mal'ch e progressive; la suite